1035.

Je suis plus attentif aux mottes de la fraise qu’au fil du cordeau narratif.

 

La plupart des libraires confondent livres récents et nouveautés, dans les deux cas,
caducs après deux mois. Le malentendu pour le lecteur est aussi complet que nutritif. Chacun paye son obole aux céréalités littéraires et économiques du moment.
 

(« Or, Muse, chante-nouilles le boulghour de Jean Bouilli. »)

 

Les enjeux se précisent : littérature contre granulométrie. 

 

Le risque d’être entendu étant minime, sonnons jusqu’hallali.

 

(Une ciguë de rappel dans la cène du livre.)

7 Replies to “1035.”

  1. Albion dit :


    Avouons qu’il y a longtemps que vous n’avez pas tant tiré la mèche et moi tant ri (bourgeoisement, vous me calez) !

  2. mauvaisjeu dit :


    VOUS VOUS Porc-épiquez, voilà c’est dit !

  3. Qi dit :


    Il faudra sérieusement renoncer un jour aux traits d’esprits, cher Marsac ; l’acupuncture a ses limites…

  4. Lehman Brothers dit :


    « L’anarchie règle  trop de comptes »

     


    Lehman BRos.

  5. Votre adresse IP (86.196.175.159) sera archivée. dit :


    Je ne connais pas meilleur plaisir que d’asséner à froid et en parfaite simultanéité un coup de pied dans l’ovaire droit et un autre dans la couille gauche.


     


    Ceci dit vraiment en passant

     


    Hors jeu donc


    hélas.

  6. G.MAR dit :

    Cher Monsieur,

    J’ai toujours plus ou moins considéré les critiques littéraires, et a fortiori,
    par-dessus tout, les éditeurs, par ce que, jugeant, ils font le tri entre le bon et le mauvais et que leurs jugements s’égalent toujours au dernier (sans appel), aux pupilles de Dieu sur terre
    montées sur des gueules de con. Ceci ne s’applique certainement pas à vous. J’ai bien pire que Dieu : tous les critiques littéraires sont des rejetons inconscients de Claude Richet, prix
    Nobel de médecine en 1913. « Laissons de côté la sélection naturelle et ayons le courage de faire une sélection sociale, plus rapide et plus efficace. Lorsqu’il s’agira de la race jaune et à
    plus forte raison de la race noire pour augmenter notre puissance mentale, il faudra pratiquer non plus la sélection individuelle comme avec nos frères blancs, mais une sélection spécifique en
    écartant résolument tout mélange avec les races inférieures. La sélection ne sera efficace que si elle est sévère et la sévérité c’est l’élimination des
    mauvais.
    Or les mauvais ne disparaîtront pas de leur plein gré. Il faudra donc une autorité pour les éliminer de la société humaine. » Vous
    n’avez certainement pas une gueule de con. Vous avez seulement un cerveau d’eugéniste. J’aboie mais le mal est de mon côté – je prends un malin plaisir à lire votre prose… car c’en est. Tout
    cela bien amicalement donc. G.MAR. http://kissmyassedition.tumblr.com/

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