1066.

(Rupture de fiel.)

 

Nous revoici.

 

Nos amis semblent hermétiques à l’humour réversible du boomerang.

 

Pudeur et délicatesse. J’ai compris. Le Matricule des granges encense nos livres mais en changeant les noms, les titres.

 

Va, petit mulet.

 

Un forum de poésie tartignole nous a dans son collimateur. Les manuscrits abondent. La rime est riche. Vomi garanti.

8 Replies to “1066.”

  1. Anastasia dit :

    Admettons aussi la suite//

  2. swFt dit :

    Admettons qu’ici, une fois, je siège et t’attende

    Admettons aussi la suite//

    On sonne à ma porte

     

    Déjà ?

  3. Anastasia dit :

    Vous pouvez détruire les notes et
    souffler des viscères comme on empoisonnerait le dérisoire attachés que vous êtes à l’esclavage comme d’autres scelleraient l’horizon

     

    Une chose que vous ne pourrez jamais
    supprimer

    est ce goût

    de la danse, mon
    insatiable liberté

  4. Anastasia dit :

    Vous n’aurez donc rien compris à notre histoire, rien vu, rien ressenti
    d’autre, rien dépassé de l’abstrait regard ou de je ne sais quelle note de restaurant, Kristeva dans votre serviette, et toujours pas de musique, rien appris vous non plus, rien pu imaginer
    d’autre. Car ? Trop difficile à prononcer cette phrase ? On n’arrive pas à désapprendre Swift ? Q’une femme puisse aimer. Créer. Qu’une femme puisse vous avoir aimé de créer.

  5. TFWSr dit :

     Je ne serai pas tant là demain
    pas si disponible pas tant avide ni assis ou pas exactement pareil, et d’où vient le peu de savoir que tu n’écoutes pas qui tant pourtant détruit ce rien d’instant tien
    consacré ?

     

    Ne réponds pas, il
    aura passé

  6. SWFT dit :

    Qu’est-ce qui nous désaimante
    tant,

     

    fidèles au pas de
    tir ?

  7. émulsif dit :

    Combien tard et lourde et comiquement fidèle je te retrouve en bas de
    note de restaurant

    Tu pèses en vrac excrémentiel et je t’honore encore à la
    bouche

    Tu m’as bien fait plaisir

    Nos anciens numéros ici disent moins une histoire touchée ventre à
    ventre qu’une TVA

     

    Pourquoi faut-il que te manger me robore.

    nul repentir sinon renvoi

  8. Anastasia dit :


    « C’est une course (…) aux feuilles serrées (…) qui égorge (…) étrangement le ciel (…) de crier. »

     


    Avec Eric Pessan, Muette

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