1067.

Nous exigeons de nos auteurs un génie inconditionnel. Envoyez plutôt vos poèmes à votre mamie.

 

Tu es bon, mon Toto, tu es généreux, tu es un ange. Bonjour, mon Toto bien-aimé, bonjour, mon Toto chéri. Bonjour, mon cher petit Toto. Je me répète, mon
Toto, et cela ne peut pas être autrement. Je t’attends, mon Toto. Je te remercie, mon Toto chéri. Quand te verrai-je, mon Toto chéri ? Ton amour, c’est ma vie, mon Toto.

J’ose t’écrire cela de loin, mon Toto. Je souffre, mon Toto. C’est bien triste, mon Toto, de te savoir malheureux loin de moi.
Mon Toto, je voudrais avoir ton génie pour te dire comment… Jour, Toto, jour, mon cher petit O.

4 Replies to “1067.”

  1. swft dit :

    Me souviens où tac au tac tu vivais
    de moi aussi avec toi suggérée et moi donc souscrit de vous et animé, n en trop, se sentir du moins pour se figurer là comme toi, un prénom démasqué par ailleurs mais bon

     

    Je pourrai dire un jour « j’ai
    approché celle » et on sifflera après moi comme sur les mauvaises filles, je nous porterai en hypnose de mariée ; toutes bagues aux dents, comique oui, mais j’aurai été de ceux qui
    t’ont approchée, à l’heure d’été présent de givre

  2. swftyu dit :

    18h 38 n’est pas une heure ^ro^re,
    tu compends ?

  3. swwft dit :

    Parti d’ébriété lâche, à peine,
    convenue dirons-nous seul

    Je siège d’autant qu’à l’heure
    passée et t’ai manquée

    bullée à d’autres airs

    moi en merde

     

    comme les drapeaux,
    non ?

  4. Anastasia dit :

    « Martha : J’espère, monsieur, que je ne vous dérange pas. Je voudrais changer vos serviettes et votre eau.

    Jan : Je croyais que cela était fait.
    Martha : Non, le vieux domestique a quelques fois des distractions.
    Jan : Cela n’a pas d’importance. Mais j’ose à peine vous dire que vous ne me dérangez pas. 
    Martha : Pourquoi  ? 
    Jan : Je ne suis pas sûr que cela soit dans nos conventions.
    Martha : Vous voyez bien que vous ne pouvez pas répondre comme tout le monde, même en croyant tout concilier.
    Jan : Il faut bien que je m’y habitue, laissez-moi un peu de temps. 
    Martha : Toute la question est là.
    Je regrette, monsieur, que cette chambre ne soit pas aussi confortable que vous pourriez le désirer. 
    Jan : Elle est particulièrement propre, et cela a bien son prix. Vous l’avez d’ailleurs récemment transformée, n’est-ce
    pas ? 

    Martha : Cela est vrai. Comment le voyez-vous ? 
    Jan : A des détails. 
    Martha : En tous cas, bien des clients regrettent l’absence d’eau courante, et l’on ne peut pas vraiment leur donner tort. Il y a longtemps aussi que
    nous voulions faire passer une ampoule électrique au-dessus du lit. Je suppose que ce doit être désagréable pour ceux qui lisent au lit d’être obligés de se lever pour tourner le
    commutateur. 

    Jan : En effet, je ne l’avais pas remarqué. Mais ce n’est pas un gros ennui.
    Martha : Vous êtes très indulgent. Je me félicite que les nombreuses imperfections de notre auberge vous soient indifférentes et vous préoccupent moins
    que nous J’en connais d’autres qu’elles auraient suffi à chasser.

    Jan : Malgré nos conventions, laissez-moi vous dire que vous êtes singulière. Il me semble, en effet, que ce n’est pas le rôle de l’hôtelier de mettre
    en valeur les défectuosités de son installation. On dirait, vraiment, que vous cherchez à me persuader de partir. »

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