« J’ai
commencé à courir (…) avant de naître (…) et puis les événements (…) on était à bout (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) a eu ceci de formidable (…) et donc ces bras, ces
bras, ces bras du fleuve (…) cela fait allusion à un monde dont on n’a pas les mots (…) de lieu en lieu, de lieu en lieu (…) avec la fragilité (…) on a essay& (…) les étoiles, les
mathématiques (…) les astres (…) que tout bouge (…) dans la musique (…) qui brasse (…) dans tous les sens(…) c’était une aventure (…) baroque (…) il n’y avait plus de spectateurs
(…) il y avait des possibles (…) pas comme des juges (…) comme différentes formes de soleils (…) c’etait de trouver (…) de créer (…) comme tu dirais (…) je (…) commence (…) cette parole
qui n’est pas toujours évidente au départ (…) il a fallu chercher (…) des corps. (…) c’est un combat qui se gagne par un non-combat. (…) que suppose le langage (…) et après (…) j’ai
trouvé ma voie. On m’a foutu dehors et toute l’expérience je l’ai faite en étant
Tout ce vent qui appelle floraison de périples comme
elle s’obstine poussant tempête de ces humanités. Et se donne les plus étranges des rythmes en lui supposant non pas des commencements et des fins mais des tremblements. Pour mieux les accorder
ou s’oppose à la façon normative et s’emporte aux variations étendues par quoi nous migrons, par quoi nous brisons les massacres d’épuisement, d’enfermement infinissable. Dans la vision du cri
forge l’imaginaire aux fantasmes des temps. Pour les besoins de la reconstruction, là tout de suite, que les laves courent sur des fugacitésd’amour.
« J’ai
commencé à courir (…) avant de naître (…) et puis les événements (…) on était à bout (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) a eu ceci de formidable (…) et donc ces bras, ces
bras, ces bras du fleuve (…) cela fait allusion à un monde dont on n’a pas les mots (…) de lieu en lieu, de lieu en lieu (…) avec la fragilité (…) on a essay& (…) les étoiles, les
mathématiques (…) les astres (…) que tout bouge (…) dans la musique (…) qui brasse (…) dans tous les sens(…) c’était une aventure (…) baroque (…) il n’y avait plus de spectateurs
(…) il y avait des possibles (…) pas comme des juges (…) comme différentes formes de soleils (…) c’etait de trouver (…) de créer (…) comme tu dirais (…) je (…) commence (…) cette parole
qui n’est pas toujours évidente au départ (…) il a fallu chercher (…) des corps. (…) c’est un combat qui se gagne par un non-combat. (…) que suppose le langage (…) et après (…) j’ai
trouvé ma voie. On m’a foutu dehors et toute l’expérience je l’ai faite en étant dehors. Je me suis sauvéé. »
« Ces bras, ces bras du fleuve (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) et d’un bras à l’autre comme ça (…) c’était la seule arme
de combat que je pouvais avoir (…) alors je suis partie (…) en fragments (…) il fallait plonger (…) pas comme finir ou aller (…) sur quoi je travaille (…) pas une virgule mécanique
(…) la Résistance (…) c’est de là que me vient ma sensibilité (…) des expériences fondamentales (…) et lorsque je suis arrivée dans la gare (…) ils ne m’ont pas demandé mes papiers
(…) les cheveux tombaient (…) cordes coupées, chutes libres, balles (…) et d’un bras à l’autre, comme ça. Et donc ces bras, ces bras, ces bras du fleuve (…) c’est devenu le Monde (…) la
seule chose qui nous restait à faire (…) on l’a découvert (…) en plein milieu. » Avec Armand Gatti
VERSION AUX ILLETTRES
« J’ai
commencé à courir (…) avant de naître (…) et puis les événements (…) on était à bout (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) a eu ceci de formidable (…) et donc ces bras, ces
bras, ces bras du fleuve (…) cela fait allusion à un monde dont on n’a pas les mots (…) de lieu en lieu, de lieu en lieu (…) avec la fragilité (…) on a essay& (…) les étoiles, les
mathématiques (…) les astres (…) que tout bouge (…) dans la musique (…) qui brasse (…) dans tous les sens(…) c’était une aventure (…) baroque (…) il n’y avait plus de spectateurs
(…) il y avait des possibles (…) pas comme des juges (…) comme différentes formes de soleils (…) c’etait de trouver (…) de créer (…) comme tu dirais (…) je (…) commence (…) cette parole
qui n’est pas toujours évidente au départ (…) il a fallu chercher (…) des corps. (…) c’est un combat qui se gagne par un non-combat. (…) que suppose le langage (…) et après (…) j’ai
trouvé ma voie. On m’a foutu dehors et toute l’expérience je l’ai faite en étant
Tout ce vent qui appelle floraison de périples comme
elle s’obstine poussant tempête de ces humanités. Et se donne les plus étranges des rythmes en lui supposant non pas des commencements et des fins mais des tremblements. Pour mieux les accorder
ou s’oppose à la façon normative et s’emporte aux variations étendues par quoi nous migrons, par quoi nous brisons les massacres d’épuisement, d’enfermement infinissable. Dans la vision du cri
forge l’imaginaire aux fantasmes des temps. Pour les besoins de la reconstruction, là tout de suite, que les laves courent sur des fugacités d’amour.
les muses
parlent
D’UN MANUSCRIT
VAGABOND ET AUTRES HISTOIRES DE FLEUVES sous
la clarté au-dessus de l’abyme d’un été au liban.
Chevelure correspondance d’amour et de feu
« J’ai
commencé à courir (…) avant de naître (…) et puis les événements (…) on était à bout (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) a eu ceci de formidable (…) et donc ces bras, ces
bras, ces bras du fleuve (…) cela fait allusion à un monde dont on n’a pas les mots (…) de lieu en lieu, de lieu en lieu (…) avec la fragilité (…) on a essay& (…) les étoiles, les
mathématiques (…) les astres (…) que tout bouge (…) dans la musique (…) qui brasse (…) dans tous les sens(…) c’était une aventure (…) baroque (…) il n’y avait plus de spectateurs
(…) il y avait des possibles (…) pas comme des juges (…) comme différentes formes de soleils (…) c’etait de trouver (…) de créer (…) comme tu dirais (…) je (…) commence (…) cette parole
qui n’est pas toujours évidente au départ (…) il a fallu chercher (…) des corps. (…) c’est un combat qui se gagne par un non-combat. (…) que suppose le langage (…) et après (…) j’ai
trouvé ma voie. On m’a foutu dehors et toute l’expérience je l’ai faite en étant dehors. Je me suis sauvéé. »
Pour Armand Gatti
Et je voyais toujours une lumière pour essayer de mettre en action cette parole au départ.
« Ces bras, ces bras du fleuve (…) la seule chose qu’il nous restait à faire (…) et d’un bras à l’autre comme ça (…) c’était la seule arme
de combat que je pouvais avoir (…) alors je suis partie (…) en fragments (…) il fallait plonger (…) pas comme finir ou aller (…) sur quoi je travaille (…) pas une virgule mécanique
(…) la Résistance (…) c’est de là que me vient ma sensibilité (…) des expériences fondamentales (…) et lorsque je suis arrivée dans la gare (…) ils ne m’ont pas demandé mes papiers
(…) les cheveux tombaient (…) cordes coupées, chutes libres, balles (…) et d’un bras à l’autre, comme ça. Et donc ces bras, ces bras, ces bras du fleuve (…) c’est devenu le Monde (…) la
seule chose qui nous restait à faire (…) on l’a découvert (…) en plein milieu. » Avec Armand Gatti