1094.

Le livre est un plâtre appliqué sur notre beauté intérieure.

 

Impossible depuis plus d’une semaine de mettre la main sur trois volumes des œuvres de Kafka, disparus, envolés, verloren au milieu des grouillants de ma
bibliotchèque.

4 Replies to “1094.”

  1. Anastasic dit :

    Vous boudez. Ne le cachez pas, vous boudez! Allez…

    Tirez donc la langue,

    Faites « AH! »

    Voilà, et même sans apposition des mains, on vous gâte.

    Maintenant, allez.

  2. varginal(e) dit :

    Cherche
    poème
    vraiment baveux

    pour succion

     

    sans la
    langue

  3. La force tranquille dit :


    Jouissons de l’ortolan  dans la bouche voisine. Doux craquement crânien, une dragée entre les deux yeux.Bonbon!

     


    Je valide pour la peine qu’on vous fera et l’injustice surtout.

  4. Anastasia dit :

    On va se taper les foireuses amertumes et lancinantes maxillaires de Villiers pour combien de temps encore ? C’est la pensée
    qui le plaque ou l’acide qui le suinte ? Le requin fait surimi ? La couleur est étroite et le rythme épais. Oh ! oh ! Et on se découpe une moelle de bois sombre ? Mais irise ton
    labyrinthe mon vieux, pulsionne les respirations, démarre les pulsatiles. Et du bouillon farci sous ta langue !

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