Son grain contient la fleur.
Tu m’ouvres avec ton courrier, Je ne ris pas. Je dis : combien d’arrachement il te faut pour oublier la mousse du fauteuil, l’escalier, l’odeur ici et sonder mon oreille depuis la poussée d’herbe! Je t’admire sans faute ni sourire comme la vraie nature vraie Je te parle juste de ce que tu fais monde Celui chez moi qui meurt mot à mot et qui de tout toi fait gicler les fractales, car tu es système aussi, un étalon du hors gabarit.
Dans nos sous-sols exponentiels, je ne t’emprunte rien, je ne sais pas, mais c’est mon luxe d’habiter ton courrier.
Je t’entendais battre du loin de l’absence, et tu es devenue vivante mon écriture, corps d’ouvert et d’ultime démultiplié en chaos de chacun les tissant, grâce d’inachevé et de fleurs
*Mortelle planquée sous mon ongle,
c’est toi qui me niques les dents !*
Tu m’ouvres avec ton courrier,
Je ne ris pas.
Je dis : combien d’arrachement il te faut pour oublier la mousse du fauteuil, l’escalier,
l’odeur ici et sonder mon oreille depuis la poussée d’herbe!
Je t’admire sans faute ni sourire
comme la vraie nature vraie
Je te parle juste
de ce que tu fais monde
Celui chez moi qui meurt mot à mot et qui de tout toi fait gicler les fractales, car tu
es système aussi, un étalon du hors gabarit.
Dans nos sous-sols exponentiels, je ne t’emprunte rien, je ne sais pas, mais c’est mon
luxe d’habiter ton courrier.
Je t’entendais battre du loin de l’absence, et tu es
devenue vivante mon écriture, corps d’ouvert et d’ultime démultiplié en chaos de chacun les tissant, grâce d’inachevé et de fleurs
*Mortelle
planquée sous mon ongle,
c’est toi qui me niques les dents !*