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Ils tiennent à leurs œillères plus qu’à leurs œils – coup de cuillère et hop, deux billes de verre dans le caniveau.

 

Je viens de relire en consultation gratuite sur le site de l’éditeur l’ouverture de Réparer les vivants. Quelle régalade, ces
gros clins bovins de l’œil à l’adresse des lecteurs ébahis !

 

Imaginez votre punition au sortir d’un spot, bing dans le poteau, et l’on vous greffe la cervelle de l’un de ces veaux.

 

Refuseurs universels, exigeons la liste complète de leurs dernières lectures. Ce foie, qu’a-t-il bu ? Cette rate, qu’a-t-elle vomi ?

 

Puis les lecteurs déposa ses cendres dans l’urne qu’on retourna comme un sablier.