118.
David Marsac reposait désormais dans le creux de son lit tandis que la divine machine jour après jour publiait les pages de son blog.
Des nuits durant David Marsac avait veillé devant l’écran, jusqu’à ce que le nouveau jour paraisse (pas pressé justement) – pour y déposer son offrande lyrique (Ô
Écrivain).
Puis un seul clic sur la petite icône du calendrier, en bas à droite de l’écran, avait changé la vie du petit éditeur.
Il surfait maintenant sur la dent du requin tandis que le scaphandrier s’emmêlait les semelles de plomb – dans les grands fonds.