1184. Tracteur et traduction
Il était temps. Claro a enfin compris que le tracteur invente une langue originale. (Pour l’écrivain, on verrat plus tard.)
Auparavant, il avait pris le temps de maltraiter d’un commentaire truffé d’erreurs, d’inepties et de coquilles raboutées notre édition quadrilingue des Vingt sonnets à Marie Stuart, réduite sur son clavier à une sorte d’exercice de traduction comparée plus ou moins fidèle au tractopelle garanti d’origine.
L’incompétence motorisée est-elle l’autre nom de la malveillance ?
J’exige une palinodie publique (au minimum, une réforme agraire).