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Je ne chanterai jamais longtemps les bienfaits du football et des malentendus sur la fréquentation des livres. Les prouesses du gardien Guillermo Ochoa ont conduit des armées d’amateurs enthousiastes vers l’article consacré à l’excellent Rafael Menjivar Ochoa, gardien à sa manière, que mon nouvel ami Alain Mala publie au Cénomane – son œuvre au grand complet, indispensable en ces temps de lait fraise et de faussaires indépendants.
Je ne vois pas de lien manifeste entre football et lynchage sauf, peut-être, la foule d’électeurs portée par l’enthousiasme.
Il paraît que nos lecteurs en fuite se sont déversés sur le blog menthe à l’eau de Thomas-Vinau, l’eddy-mitchell de la littérature. Et voici des lecteurs à jamais perdus (la rigole et le caniveau).
Je dirai bientôt tout le mal que je pense de Marie-Richeux, Jean-Birnbaum, Marc-Voinchet et, en pure perte, du journalisme contemporain dont l’exigence est si haute qu’on en voit d’abord le cul.