1268.
Qui prend la blague pour une enveloppe vide n’a jamais ouvert son pot à tabac.
Variante : Qui prend la blague pour une enveloppe n’a jamais ouvert son courrier.
La blague est la peau morte d’une écriture sous-cutanée.
Écrire, n’est-ce pas une manière de garnir son pot (à tabac) ?
J’hésite sur la formule.
Par contre, j’ai versé d’office au cloaque littéraire : « Lis vite, tu n’en péteras que mieux. »
Puis j’ai repris le dilettante André Blanchard (collés, cousus, couvertures à rabats).