169.
David Marsac entend célébrer lui aussi le boucan en l’honneur du toucan :
« Plus le sujet est vague, ténu le prétexte, distraite la conduite de l’intrigue, évasive la recherche de la vérité ou du sens, et plus la littérature aura des
chances de se déployer, sans autre justification qu’elle-même, libre et non asservie, pour donner enfin sa pleine mesure : dévorer l’espace et le temps. »
La carte et le territoire, p. 911