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Je me demande ce qu’Agathe et Suzie viennent faire aujourd’hui dans les pages de mon blog et quelle œuvre en chantier les a soustraites à l’attention de leur
papa.
Vue la porosité des noms aussitôt distillés à l’infini d’ailleurs très relatif du Web, les corps ne résisteront pas longtemps à la transsudation et passeront
bientôt par nos écrans. Éric Dussert, hier. Le lendemain, les filles Chevillard.
Les recueillir ? Leur interdire l’accès de mes pixels ? Ou les laisser aller et venir, comparer et choisir, faire leur marché, profiter du détour pour
s’enrichir.
(Cet espace volatil est truffé de mots-clés destinés aux moteurs de recherche. Soyez vigilants.)