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Devant la pénurie de lecteurs, j’invite les écrivains, qui ne manquent pas, à se constituer par affinités en phalanstères fondés sur les valeurs du respect mutuel
et de la réciprocité des ventes.
Afin que vive encore la littérature française.
– Allons z-enfants de la batterie, rechargeons ensemble nos énergies.