361.
David Marsac traversait la réalité dans la peau de son personnage pour approcher incognito le réalisme du romanesque français.
– J’habite un nom d’emprunt que je loue au moi plutôt qu’à la petite semaine.
David Marsac traversait la réalité dans la peau de son personnage pour approcher incognito le réalisme du romanesque français.
– J’habite un nom d’emprunt que je loue au moi plutôt qu’à la petite semaine.