Ce qui ne nous dit rien de cette affaire entre B., et Mallarmé
Donc tout le monde traduit tout le monde
JUNGLE LE PIRE
Mallarmé est une source éparse ?
p. 93, les deux derniers vers, des poésies de M.
La vie errante : serait-ce la voie ?
Non ça, c’est une citation !
« Serait-ce la voie ? », La vie errante
Tu remplacerais veille par veine ?
Oui
« Une (veine) t’exalte à ne pas fermer l’oeil »
Mallarmé : Le prochain qui touche à mes vers, je le bois
LA NUIT PORTE A L EVEIL
La sensation de Mallarmé est une jubilation de contre-cristaux !
LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
POUR QUE JE PLONGE, REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
NOUS FLEURISSONS LA LIGNE POUR QUE JE PLONGE, ET REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE
POURPRE ET LE VITAL
A CIEL OUVERT, NOUS FLEURISSONS LA LIGNE POUR QUE JE PLONGE, ET RENVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE
VITAL
page 16 du plafond des iréelles
un flingue tendu contre le jour: tu switch la trame ou tu débrides la ligne ?
Une revue du nom de Dissonances propose d’écrire superstar
Comment ça une proposition ?
Encore des histoires d’écriture !
La débouleuse du sexe (j’avais dit le coeur, mais j’ai interfloré en regard du coup soyeux ; on garde le
coeur ?) : àla hache, l’écriture !
Ca ne me dit rien
En l’occurence, tu te laisses prendre, ça vient tout seul
Mallarmé : je ne suis pas un pornostar !
Du bout des lèvres défoncées des nerfs
On est parti comme ça : superstar tringle la moelle du grand amour
Et le jour, on le platre à l’essence ?
Je ne crois pas, non, que nous soyons partis
Ils partent
Defigurés, mouillés, rampant les cargaisons voutées du soleil cru, nous n’en sommes pas encore là, mais ça me tombe brutal
A terre
le consentement
des rebelles, etc.
sup. Air. Swift. bombe les digues obscures des
ciels en écailles et les étoiles feuillent les pornomafieux, tu veux dire que je suis gratuite ! Ca me va !
C’est à vivre, au moins, c’est à vivre ! Mouais…
Anastasia : je nous crois nous ! Tu fais bien de rester sur ta ligne, car ça tangue où je nais
Brodsky : j’implose une oxydée
Claude a perdu Simon (la rafle, les legendes, cf. chapitre 3)
Devant la pompe, on implose les reflets
Une étoile rimée d’essence
C’est limite
C’est limite mais c’est là !
Qu’est-ce que tu veux que je te dise !
ON ARRACHE LES PEAUX
S’ILS SONT MORTS, ON FAIT COMMENT ?
Pas comme ça : ON TRAVERSE la matière en réaction criblée de balles crues palpées chaudeset
alors, nous ne pouvons plus éviter ce que nous ne pouvons pas dire,quelques pas en arriere sursautant NUCLEIDES, il dit que tu fait tapisserie depuis des tentacules, il dit ça qu’il veut, il me prend comme il veut, il a mon o6, c’est pas comme ça l’amour = ça (à venir : nous partons, mille fois nous partons !
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m’en lancer libre comme l’A
Je ne pars pas sur du blanc !
page blanche, virgule
page blanche
et même nous repartirons
C’est une adoration de la dérive ?
1898
Ce qui ne nous dit rien de cette affaire entre B., et Mallarmé
Donc tout le monde traduit tout le monde
JUNGLE LE PIRE
Mallarmé est une source éparse ?
p. 93, les deux derniers vers, des poésies de M.
La vie errante : serait-ce la voie ?
Non ça, c’est une citation !
« Serait-ce la voie ? », La vie errante
Tu remplacerais veille par veine ?
Oui
« Une (veine) t’exalte à ne pas fermer l’oeil »
Mallarmé : Le prochain qui touche à mes vers, je le bois
LA NUIT PORTE A L EVEIL
La sensation de Mallarmé est une jubilation de contre-cristaux !
LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
POUR QUE JE PLONGE, REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L’ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE VITAL
NOUS FLEURISSONS LA LIGNE POUR QUE JE PLONGE, ET REVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE
POURPRE ET LE VITAL
A CIEL OUVERT, NOUS FLEURISSONS LA LIGNE POUR QUE JE PLONGE, ET RENVERSE LES FOUDRES OU NOUS ASSIEGONS LA LOI DE L ENCYCLOPEDIE DE LA LITTERATURE, CELLE QUI VOUS PEND PAR LE POURPRE ET LE
VITAL
jusqu’au jour à la hache de plus belle
Segalen, de quelle couleur le pornosky ?
De l’eau fendue : c’est une guerilla urbaine à principaux caractères
la couleur : nuitée d’efflorescence
UNE ETOILE BROUILLEE, ISOTROPE, DECAPITEE
(La langue la pulsion ou la chose la vitesse)
Mallarmé taillant ses myrthes à la contemplation : on refroidit les boisseaux !
(un espace rougi de l’été, à faire passer, etc.)
Swift acharne les battements
RAIDISSEMENT DES LUEURS
PULSATIONS IMPERIEUSES
(Des fleuves aveugles veinent l’ocre du jour)
Et la nuit m’accable de rêves
C’est pénible !
On dirait un bourdonnement de fractales
MAIS DEGAMME LES ENTOURNURES !
C’est en cours !
Trop, trop, trop.*
*!!,!!,!,!,!!,!!,*! ! ,!*,**,*,
**,**/—**,*?,*__/—/___/__—-!-,-!-!-,!–!,-!—!–****/–****-***-********,?**,**,*!:**:::*,****,?**//,///,/___//***?***(*),**:?****!:***
**_________,____________******,***(*_!/-/*/-***-**-**,-**)***,**–,**?*,*,**,*! !, ! !,***,
arythmique, comme ligner l’amour
06 : l’amour margé de vitesse
page 16 du plafond des iréelles
un flingue tendu contre le jour: tu switch la trame ou tu débrides la ligne ?
Une revue du nom de Dissonances propose d’écrire superstar
Comment ça une proposition ?
Encore des histoires d’écriture !
La débouleuse du sexe (j’avais dit le coeur, mais j’ai interfloré en regard du coup soyeux ; on garde le
coeur ?) : à la hache, l’écriture !
Ca ne me dit rien
En l’occurence, tu te laisses prendre, ça vient tout seul
Mallarmé : je ne suis pas un pornostar !
Du bout des lèvres défoncées des nerfs
On est parti comme ça : superstar tringle la moelle du grand amour
Et le jour, on le platre à l’essence ?
Je ne crois pas, non, que nous soyons partis
Ils partent
Defigurés, mouillés, rampant les cargaisons voutées du soleil cru, nous n’en sommes pas encore là, mais ça me tombe brutal
A terre
le consentement
des rebelles, etc.
sup. Air. Swift. bombe les digues obscures des
ciels en écailles et les étoiles feuillent les pornomafieux, tu veux dire que je suis gratuite ! Ca me va !
C’est à vivre, au moins, c’est à vivre ! Mouais…
Anastasia : je nous crois nous ! Tu fais bien de rester sur ta ligne, car ça tangue où je nais
Brodsky : j’implose une oxydée
Claude a perdu Simon (la rafle, les legendes, cf. chapitre 3)
Devant la pompe, on implose les reflets
Une étoile rimée d’essence
C’est limite
C’est limite mais c’est là !
Qu’est-ce que tu veux que je te dise !
ON ARRACHE LES PEAUX
S’ILS SONT MORTS, ON FAIT COMMENT ?
Pas comme ça : ON TRAVERSE la matière en réaction criblée de balles crues palpées chaudes et
alors, nous ne pouvons plus éviter ce que nous ne pouvons pas dire, quelques pas en arriere sursautant NUCLEIDES, il dit que tu fait tapisserie depuis des tentacules, il dit ça qu’il veut, il me prend comme il veut,
il a mon o6, c’est pas comme ça l’amour = ça (à venir : nous partons, mille fois nous partons !
héron, héron, petit tas pas con.