754.

Toute phrase d’un livre surprise dans ma réalité sera aussitôt transformée en crème solaire.

 

– Bonjour tristesse de la littérature. Puis-je m’ensabler dans ton roman de plage ?

9 Replies to “754.”

  1. Anastasia dit :

    quelque
    part au fond du bois épais,
    enfin, les
    yeux.

  2. Anastasia dit :

     


     


    -Les ensablements du dernier songe-

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  3. Anastasia dit :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    ça blinde le marbre, quand c’est pas le coton, le pire c’est le coton,

  4. Anastasia dit :


    J’ai rien dit, ça mouche le coton !


    pareil au feu où la lumière simplement

    touchée


    mais qu’on lui claque des vipères !

  5. Anastasia dit :


    Pareil au feu où la lumière simplement touchée

  6. Anastasia dit :


    Nous sommes pareils au feu


     
    Contre
    l’ancien langage


    nous ne cessons
    de lutter


    où la lumière


    au fond du bois épais


    ou simplement touchée

  7. Anastasia dit :

    Nous
    sommes pareils au feu
    (…). Contre l’ancien
    langage,
    (…) nous ne cessons de lutter (…),  (…)  Qui l’a perçu ?  Vous est-il jamais arrivé de penser (…)
    des sortes et l’explosion violente,d’énigmes (…),
     un dédale où la lumière
    , cette profonde (…)  et bienheureuse (…) espérance (…), doit se frayer un chemin (…), quelque part au fond du bois épais (…)  où simplement touchée (…) les plus bizarres, enfin, les yeux.

     

    Hölderlin,
    Georges Orwell, Edgar Allan Poe, Thomas
    Pynchon

  8. Anastasia dit :

    Nous sommes pareils au feu (…)
    contre l’ancien langage (…) nous ne cessons de lutter (…) Qui l’a perçu ? Vous est-il jamais arrivé de penser ?
     Cette profonde (…)  et bienheureuse (…) espérance (…)
    quelque part au fond du bois épais (…)  où simplement touchée (…), enfin, les
    yeux
    .

     

    Hölderlin et Georges Orwell

  9. Anastasia dit :

    Nous sommes pareils au feu (…)

    (…) nous ne cessons de lutter.

     Hölderlin

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