773.

Les manuscrits manquent plus que l’argent. À croire que la rentrée a épuisé toutes les réserves.

 

Je ne vois guère que les bons écrivains pour affirmer que la littérature ne se porte pas si mal. Il me semble que les écrivains hors pair sont plus
catégoriques.

50 Replies to “773.”

  1. Anastasia dit :

                         
    Vivre
    Vegas cardio-fiction

  2. Anastasia dit :

    Mais scalper les yeux
    à la vitesse de ….
    On fait sauter l’orage.

  3. Anastasia dit :

    C’est le poing de l’absence. Mais ce n’est pas le panthéon.

  4. Anastasia dit :


    Je vais donc commencer par toi qui m’étrangle la gorge jusqu’au sombre.  Tu vas te taire. Tu te tais. Ni Sindab, ni le vieil homme et la mer, mais seul et sans vérité. Te dire que nous nous
    sommes fracassés le corps sous tes décennies de ronces. Tu suces le bord de tes jours faméliques et sans dard, tu déglutis le poing de la malchance qui t’as fait naître au Panthéon de la
    survie, tu enfiles l’inconsolable par le sang, les feuilles par les bombes, ton sexe me pulsionner sutra, à l’hydrocarbure, le solstice dans le noir pâturage de l’autre flute. Et pourquoi pas un
    air de flute ? Ou une histoire d’amour ? Et on se palpe la pastorale tout du long ? Je te parle d’un gong de foutre, comme éclater du tuyau ou sursaturer des veines. Lasso-typomaniaque,
    goinfre-formol et dégage-blanc fournis !
    Tout ce que tu veux, mais on ne recommence pas l’histoire, ou l’hiver, c’est pareil. C’est-à-dire, non pas retrouver le passage sous les
    bombes, ou même trouver un passage où vivre sous les bombes, mais renoncer à vouloir en trouver un, car il n’y en avait pas, même sous les bombes, il nous faudra vivre. Devenir hormones à
    tombeaux lustrés des grabats, et remonter en flèche le moral atrophié des juncky et lubriques. Mais en finir avec ces salades de traverser les rues en cherchant des passages à l’histoire, puisque
    ce sont les rues qui traversent l’histoire. Et si rien ne te traverses, ni même l’illusion d’un jardin, tu renonces, c’est ce que je te souhaite, tu regardes le sol dévêtir ses efforts et tu
    cèdes. Encore plus bas. Hurler. Tirer. Ne pas chercher lever la tête qui pèse son armature de vieux froid, ne pas boucher la matière, ni l’entendement,
    mais scalper
    les yeux à la vitesse de l’éclair sans l’orage, ou un décompte, une somme d’espérance gelée de l’hiver battant la campagne
    jusqu’à l’os
    . On débranche le civet des prières, les vieilles gorgées d’asphalte ne passent plus mes lèvres, ni même les montagnes, que sais-je, la vallée des lorgnettes pour cause
    d’épidémie d’oboles. Mais un ring nucléaire sous apnée de balles crues. Des casques de cristal tuméfiés. Une armée de pelles cocaïnées de titane. Zeus en personne déguisé en Mistigri, ras la
    gueule d’amoniac, les crocs de la mer qui auraient avalé du nitrate de plutonium à te déraciner la mâchoire, le voile et le turban.
    Tu veux dire enturbanner le coeur ?

  5. Anastasia dit :

    Eclate

    le barbelé

  6. Anastasia dit :

     

    Enfin, bon, tout ça s’intercroise, hein. Je me vois pas fumer le tilleul en écrivant une bombe. Ni vivre
    follement en lignant le mou. Ca doit être une interzone mouvante. Quelque chose comme ça. Qui va, elle-même, bouger dans 3 secondes. Un talmud-vodka.

  7. Anastasia dit :

     

    D’où la nécessité de trahir ce corps littéral. Créer cette étrangeté
    démultipliée de soi, exister et pouvoir se quitter. Ici, le désespoir est un complément d’objet. C’était une impossibilité, ça devient vital, c’est par là. Incarner le merveilleux de ta vie et
    créer un espace autre, un devenir autre, dans la construction de ce roman déréalisé où le récit l’emporte sur la destruction même. On agrandit les frontières qui deviennent des fenêtres. Et si on
    n’y arrive pas, on a toujours la possibilité d’écrire plusieurs livres contraires en même temps. On a toujours la possibilité. Il nous faut passer et inventer le passage même. C’est une
    reconstruction. C’est la chose la plus importante que nous ayons à faire. La plus belle, la plus difficile, la plus merveilleuse. Nous y croyons. C’est devenir un autre : ce double joker dont la
    pile folle serait le livre et ta face douce, la vie.

  8. Anastasia dit :

    *c’est du feu

  9. Anastasia dit :

    Le cri, il
    faut, c’est avant, on raconte, la chance, elle tient, entre tous,

  10. Anastasia dit :

    Ce n’est pas exactement comme ça. Ce n’est pas de l’or sur du froid avant la nuit du feu, à l’est de la Diaspora, etc. C’est un arrachement. C’est mon corps. C’est ça que je veux dire. C’est la
    déflagration du désespoir.

  11. Anastasia dit :

    La gueule enfoncée dans l’extase, une steppe
    d’étoiles sur la montagne sainte Joseph du désamour.

     

     


     

  12. Anastasia dit :

    Est-ce que tu as déjà ressenti la sensation
    de l’or ?

  13. Anastasia dit :

    Tous mes baisers, Swift.

  14. Anastasia dit :

    Un petit caractère. L’or flétri sur l’épaule, son squelette bouilli
    par des années de pèlerinage aux Vieilles Lunes Fumasses.
    Port Royal
    sur la ligne de départ

  15. Anastasia dit :

    alors nous sommes tout à coups vivants,  fleur affolée,  éclatée de ma main, incomplète, aux bords démontés, à mesure que nous roulions la lumière sous nos
    corps au passage d’une destination où l’attrait, puis l’autre, un lieu qu’elle n’avait jamais ressenti, tout autrement, cette voix aux draps défaits, comme elle est, avec la vie
    profondément.

  16. Anastasia dit :

    Et voilà maintenant qu’il nous faut expliciter à Port Royal la fonction de nos gros caractères alors que rien
    ne justifie l’utilisation des petits. Et le rocher divague sous le capot de l’anguille.
    Il existerait donc une norme
    d’écriture
    au catalogue des Entourloupes Mafieuses et Littéraires.

  17. Anastasia dit :

    Trois fois et, dix-huis sous. On dépile.

  18. Anastasia dit :

    Dénote
    à l’intention du fictif libre de choix

    Le mou s’est infiltré dans le texte, on
    recommence lls m’ont greffé une machine à l’intérieur. Une fleur gingembre et harissa pousse sous des muscles de nuit. Ou ils ont fait greffer. On les appelle les agents éclairs du Pornoshop.
    Moi, j’appelle ça l’amour. Ils ont dégrafé l’aphasie, troué le désespoir, ce sont
    , ce n’est pas ça du tout, des siècles d’héroïne folkent la diaspora sous des idylles hendrix,
    jerusalem et mustang, la harissa n’a rien à voir là dedans, c’est plus fort que folk, c’est une obsession mutliforme, une interzone de cables et de grains, on supprime la piste cyclable du pavot
    musical de l’autre châtaigne à vapeur, on désintègre Adam à coups de, ni moderne, ni ancienne, mais vitale, on traverse le paso-doble cervical, des kilomètres de gong sous les lignes
    politico-porno de l’autre lune, il manque un mot
    , un pornoshop à
    l’intérieur
    ,
    ou fantastique intérieur, j’appelle,
    j’appelle, je n’appelle pas ça le désespoir,

  19. Anastasia dit :

    on fait sauter l’article, et le desespoir dans la benne hortensia

  20. Anastasia dit :

    Et le désespoir dans la benne aux hortensias !

  21. Anastasia dit :

    Et Edison peut décharger trois fois son flingue
    en bois d’éclairs mafieux, embrasser Eve, dealer Future sous l’extatique pampa
    braisée de trips, ça pousse, c’est une révolte de Watt, de Swift et de foudre, nous renaissons.

  22. Anastasia dit :

    possibilités zodiaques

  23. Anastasia dit :

    Et nous
    luisons

    sous des
    nuits

    de
    griffes.

  24. Anastasia dit :

    bella-sniper

    in
    Jérusalem-Mustang

  25. Anastasia dit :

    Des siècles d’héroïne
     folkent
    la Diaspora.

    (H°3, « Livre 2 », After 3, pendant la floraison, car il n’y a pas de livre premier)

  26. Anastasia dit :

    Ils m’ont greffé une machine à l’intérieur. Une fleur
    gingembre et harissa pousse sous des muscles de nuit. Ou ils ont fait greffer. On les appelle les agents éclairs du Pornoshop. Moi, j’appelle ça l’amour. Ils ont dégrafé l’aphasie, troué le
    désespoir, ce sont des siècles d’héroïne qui folk la diaspora.

  27. Anastasia dit :

     

    Et j’embrasse le livreur d’éclairs. Je n’ai pas
    dit Moïse.

  28. Anastasia dit :

    C’est une synesthésie, une arythmie de forces et d’amour et nous passons la déflagration plutonium et sauvage que je me suis tapée sous la gaze aux illusions. Tu reprends
    ton fumier, tu repasses le plastique à fleurs de ta couette blanche et tigrée, tu te fais désyphonner l’asphalte les dents en arrière sous un distique d’herbes,  tu plastiques la
    nuit sous tes artères mythologique version Jérusalem-mustang, on le traduira plus tard, je n’ai pas dit la nuit, et tu t’enfonces le tripode conjonctif dans la cire de tes yeux sans
    oreilles. Suis-je claire ?

  29. Anastasia dit :

    En leçon ou en gomina d’épopée le flip-fumier ?

  30. Anastasia dit :

    Ils ont fait greffé une machine gingembre à l’intérieur de moi. Ce sont des fleurs harissa qui poussent sous des muscles de
    nuits, c’est une tout autre vie. On les appelle les agents éclair du Pornoshop. Moi, j’appelle ça l’amour.

  31. Anastasia dit :


    je transcrirai le mauve
    du vent dans tes cheveux

  32. Anastasia dit :


    A l’intérieur fantastique sur la route

     


    Sur la route à l’intérieur fantastique

     

  33. Anastasia dit :

    à l’intérieur fantastique sur la route

  34. Anastasia dit :

    La force du rythme
    provient de la tension contraire avec laquelle la phrase, disons la veine, arrive à son point de charge ou de décharge maximum – mais déferler n’est pas déverser, on ne pisse pas sans muscles –
    vient frapper la nuit ou éclater le point, ce n
    œud
    étroitement lié de nos peurs, jusqu’à venir déchirer le poids du réel
    .La difficulté majeure consiste à
    être capable de (re)créer un monde après l’explosion, ou avec, car ça se passe dans un même élan de plusieurs gestes. Quand ce ne sont pas des siècles. Le combat n’a pas vocation, pour nous, à se
    substituer au poème mais sa force est telle qu’il peut nous en faire oublier de devenir. Le poème doit pouvoir s’ajouter au combat, ou se créer sur le lieu du combat, et figurer un nouvel espace
    où nous puissions vivre, car il ne s’agit que de cela, au moment même où l’ancien monde s’effrite et témoigne. Rendre à la fois la déchirure, le battement, et la beauté nouvelle. Alors,
    peut-être, l’écriture, tordue et réunifiée, pourrait laisser place, à ce que nous nommons, sans jamais encore l’avoir expérimenté :

    SE RECONSTITUER

    -Mais qu’on lui greffe un aéroflammes
    !

     

     

  35. Anastasia dit :

    La force du rythme provient de la tension contraire avec laquelle la
    phrase, disons la veine, arrive à son point de charge ou de décharge maximum – mais déferler n’est pas déverser, on ne pisse pas sans muscles –  vient
    frapper la nuit ou éclater le point, ce n
    œud étroitement lié de nos peurs, jusqu’à venir déchirer le poids du réel
    .La difficulté majeure consiste à être capable de (re)créer un monde après l’explosion,
    ou avec, car ça se passe dans un même élan de plusieurs gestes. Quand ce ne sont pas des siècles. Le combat n’a pas vocation, pour nous, à
    se substituer au poème mais sa force est telle qu’il peut nous en faire oublier de devenir. Le poème doit pouvoir s’ajouter au combat, ou se créer sur le lieu du combat, et figurer un nouvel
    espace où nous puissions vivre, car il ne s’agit que de cela, au moment même où l’ancien monde s’effrite et témoigne. Rendre à la fois la déchirure, le battement, et la beauté nouvelle. Alors,
    peut-être, l’écriture, tordue et réunifiée, pourrait laisser place, à ce que nous nommons, sans jamais encore l’avoir expérimenté :
    SE RECONSTITUER.

  36. Anastasia dit :

    Et que nos baisers claquent le battement au fond du bois doré
     

  37. Anastasia dit :

    Et c’est effectivement la palpation du pire. Va créer une vie.

  38. Anastasia dit :

    C’est possibilités du love version rubis-titane. Du coup, le radium saute.

  39. Anastasia dit :

    Je reprends, je veux dire je
    commence,
    oui, je veux
    dire
    .

  40. Anastasia dit :


    Je vise le ciel, l’extase, le képi sans étoiles du Kilimandjaro. Et quand je dis extase, ça veut dire trafalguer l’atmosphère. Je prends la kalashnikov qui fait sauter la banque, la maternité, le
    capitalisme soviétique, Gengiscan en personne. Tout le monde y passe. Je nique Barbe Bleue qui fornique la légende, je classifie, compile, désosse, identifie, constate, explicite, conçois,
    assène, assèche, j’édifie la pyramide d’une super structure carcérale : l’extermination du cri. Je sais tout et puisque je sais, je chiffre
    .
     Je prends des notes, consulte mes notes, passe les remulgues à la vitesse des secondes, marche
    avant déroulé arrière, droit dans le mur qui tourne rond, carré, infréquentable mais ne cède pas, embraye les contre-offensives à la façon d’un bataillon talmudique enfiévré de
    mortiers.

    E
    n
    force, en foire, au vitriol et au traumas.

    Passages, repassages, objections, digressions, décomposition,

    millefeuille

    de la conception, déconstruction du piton, reconstitution du cyclamen, pigeonnier de notes en traque d’hypothèses,

    taxiphrase

    d’exégèses, constat, combat, digues à volants, ce ne sont pas des volants, canaux de lignes, foutre d’ hypothèses et palpation froide, questionnement étanche, sous-ensemble métal, plans
    coulissants,  serrures à doubles-contraires, bas de parenthèses, niques-manchots, replis-ronds, décloisonnement des portes, voies, routes, soleils
    curvilignes not too bad, décollement de la rétine, désengorgement du pire,

    possibilités du love, pommes-fleurs version rubis-titane, désossement des soubassements par vision multimétrique, constructiviste, iconoclaste, politico-fusionnelle, assoiffée et
    souveraine : William Gaddis au carrefour d’une convection de lustres hébraïques  sous overdose de nerfs.
    Et tu
    rajoutes, enfoncée dans tes cotes mutantes et magnétites.

  41. Anastasia dit :

    D’où l’expression fusion en
    œuvre.

  42. Anastasia dit :

    Et tu peux aller te faire dialyser ta phrase, la bagouse psychique enfoncée dans le
    grilloir des pages ou brouillard, c’est pareil, et ce n’est pas le Livre 3

  43. Anastasia dit :

    un peu plus à l’Est de  la
    Diaspora

    =

    ·  
    passages, repassages, objections du piton, digressions du cyclamen, décomposition giratoire,

    millefeuille

    de la conception, déconstruction en si, reconstitution par là, pigeonnier de notes, traque d’hypothèses,

    taxiphrase

    d’exégèses, constat, combat, digues à volants, canaux de lignes, Santiago de phrases, réfutation des hypothèses, palpation du pire, questionnement étanche, sous-ensemble métal, plans coulissants,
    serrures-à doubles-contraires, bas de parenthèses, niques-manchots, replis-ronds, décloisonnement des portes, voies, routes, yeux curvilignes not too bad, décollement de la rétine,
    désengorgement du mur,

    possibilités du love
    ,
    pommes, orange-titane, désossement des soubassements par vision multimétrique, constructiviste, iconoclaste,  politico-fusionnelle, polka et
    souveraine
    William Gaddis
    au carrefour
    d’une convection
    de lustres hébraïques
    sous overdose de nerfs


     

  44. Anastasia dit :

    rubis vient après radium, mais en réalité, ce n’est ni l’un ni
    l’autre,
    et quand je dis réalité, il faut renoncer à la comprendre, nous la créons

  45. Anastasia dit :

    Fox-radar
    du traducteur :

    Nous traduisons ici par
    :

    « une
    injection rubis et radium »

    (H°3, Livre 2, After 3)

  46. Anastasia dit :

     

     

    c’est créer de nouvelles voies en transcrivant celles
    qui vous ont fracturé

     

  47. Anastasia dit :

    Le
    corps éclate le mur
    qui troue la corde
    qui dévie la trajectoire

     

  48. Anastasia dit :

    Ceci est un
    tissage, une deconstruction en dissection vers une possible
    reconstruction
    mais qui est
    en realité et, nous devons l’avouer, une chose physique, émotive et infernale que nous avons en nous.

  49. Anastasia dit :


    Pas moins de quatre vingt dix hyperboles planquées sous la muqueuse, dix mille pulsations de marbre moins l’orage sous la peau détapée de l’éclair, bombant la digue, la hache, le sillicium et la
    torpille, et la guerre froide hydrate un giravion de pieuvres surpiquées à l’hélium pétaradant le muscle, le volt, le chaud et la tribale jusqu’aux spasmes du Vercors défigurés de mou. C’est, on
    raconte, oui on le raconte, alors comme ça on raconte, c’est avant la tyrannie du feu, après la guérilla, sous la cédille du désamour, une fonte, au milieu du jour, des pôles, des poches, des
    creux, des passoires, des fourches, de la moëlle et des poings, que sais-je,

    but not suaves, un fourgon d’incisives dériver le syntagme jusqu’à planter mes crocs dans tes sucs décatheloniens, dépulpés de jade. C’est plus fort que dévorer.

    C’est plastiquer la nuit. Et ce n’est pas une mémoire froide. C’est le sud de mes phrases sur ton sexe bilbao, une perfusion sanguine dans ma bouche kérosène, le muticable des origines enfoncé
    bien profond, une explosion de siècles dansant le nucléïde et la polka des fables et je me troue le coeur sous le turban de l’histoire adorée, avalée, suppliée, vécue, recrachée, louée, hurlée,
    déterrée, défoncée en large, en forces, au vitriol et en travers de ma vie vegas fanfare,

    chrome, samouraï, rouge vient après gorge, c’est rouge, chrome, échafaud, fanfare ou alors on mélange

    Néréïde en or et russe


    Lettre
    à Dionysos

  50. Anastasia dit :

    C’est les seins qui sont samouraïs. Au revoir.

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