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Il ne reste que le Diable avec lequel nous pourrions utilement nous brouiller, car pour nos amis et nos ennemis c’est fait.

 

Le Golvan contemplant Nicolas le temps d’une dédicace (vu par le photographe Romain Beaumont).

 

 

 

Je prépare une série d’articles sur les ouvrages d’Orion Scohy, la poésie de Laurent Albarracin et le dernier roman d’Arthur Bernard.

 

Nos livres et nos auteurs sont beaux. La fleur vient en prime.