2 Replies to “825.”

1. Anastasia dit :

   4 octobre 2013 à 1 h 50 min

   rire, rire, comme l’amour du temps
   qui blesse

2. A ! dit :

   18 novembre 2012 à 0 h 10 min

   Je passe !

    

   Tu sais quoi Borges, tu devrais sortir, aller respirer un bon coup du temps futur, prendre Marilyne aux
   étoiles sur les Steppes En Dieux Ivres Mille à L’Heure, retourner tes yeux sentir le vent lover la vitesse du feu du jour hurler le monde à minuit nu devant ton tribunal, et maintenant Joseph de
   Maistre en Requiem, et le fossé des métaphores c’est dans la kitchen aux loups ? Les vieilles gardes, que sais-je, mais c’est pas possible tout ça pour un strip aux étoiles flippé d’amour, marges
   du ciel, fluo diamant jusqu’aux heures héroïnes, paso doble et mentales, électrifiée de men, brute, assoiffée, bondir, bouleversée, mais c’est très grave de bondir, frontière, seuil,
   papier, voiles svp, ça ne va pas se passer comme ça, et si je te dis moi que j’ai voyagé la vie, itsin the décor my life, oui au centre du nombril en abyme des miroirs astraux lookés de chants,
   tremblant le vrai passionnant la peau en osmose des temps risqués, et c’était faux, et c’était vrai, et c’était beau, terrible j’ai bougé, terrible et aveugle avons  bougé la vie, alors les gars qui écrivent les tremblements des chaises ou l’ozone en surcouche depuis leur fauteuil à roulettes plastoque jardin diaphane,
   phrases huilées aux entournures rangées de commentaires en petites lettres not magic but bouillies et pas un qui soleille, pas un qui ne te serre, ou chamanise ton coeur, mais en ordre, froids,
   propres, et comme il faut, ne diront jamais ce qu’ils ne peuvent pas voir, ni donner, ni sentir, reconnaissance, oui, reconnaissance, les yeux fleuris d’orient, safranés de fêtes à venir,
   senteurs enfiévrées de doux, possible de revivre, roulée dans la lumière, possible de revivre, dansée d’amour, oui, un désastre, Borges, on a trouvé la vie dans un désastre, comment, oui, non,
   oui, mais ouvre les yeux, les voeux, ton souflle, allume bipzag aux tourments et nique la mort un dimanche soir de trop, mais qu’ils rient, et on a pas le droit de rire avec Chalimard but is it a
   poème, et si je dit que ces textes me font rire, et que je n’ai plus que ça, rire, rire, mais vous avez les yeux dépeints de l’hiver, fracassés de cendres, embouchés de vieux plats, mais c’est
   pas possible, défait la gangue des murs, effiloche le noir jusqu’à te sentir brûlant de vivre devenir, qu’est-ce que je peux faire pour toi, lance une feuille au hasard de ta piaule meurtrie,
   blessée par les injures et baise le soir des flammes en aurore, deviens déesse, ligne Jing en lumière, oui un jour je le referai, débranche, emphatique, ridicule, grotesque jusqu’à la lie des
   eaux retournées, apeurées, effrayées comme vous voudrez, par derrière, par devant, possible de vivre, mais ça va allez oui, on va se prendre les procès stalinien dans la gueule à Perruche
   volaille, mésange-corbeau, poulette indocile combien de temps encore, et Raoul Vanageim dans mes fesses larges comme des pauvres, en pleine histoire d’amour avec l’Américain, l’amour fou on
   disait le sud, et pioncer jusqu’a la saint idole de vos guerres arracher mon coeur, détruit, combien de temps encore, mais j’ai lu Sylvia Plath figure-toi, je préfère Yeats Jaillissant Des Ors
   Bleus, notez, Port Royal, elle a lu un livre dans sa vie, deux, j’ai lu un livre dans ma vie, comment ça une vie, mais qu’est ce que vous avez dans vos mains, mais lâchez vos cieux fanés de
   clopes qui blessent l’humaine et les dieux, à toute vitesse on s’est aimé, votre vie, la force, imprévisible, vous commencez quoi vous, comment, qu’est-ce que tu crois, qu’est-ce que tu crois,
    c’est un désastre, et alors, c’est un désastre en fiction, en vrai, et dans toutes les largeurs, on va le répéter comme ça, jusqu’où, c’est un
   nouveau genre littéraire le désastre, en fiction, elle a dit littérature, oh, ah, hips, pas bien, eux, bouh, de l’amour, juste une lettre, un mot, d’amour, de l’amour.