888.
Notre émerveillement fait l’oiseau, et puis s’envole vers la mangeoire où ses mouvements de bec, un jour, finissent par nous gaver.
Faute d’auréole, le petit éditeur s’est paré d’un anus de secours.
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Sur la
route à
l’intérieur fantastique, du
rythme de ses yeux, soudaine, de lumière, il dit les rivières inévitables, d’une force à faire vivre, d’un pas nourri, mêlé, hors ciel. De cette déchirure, du verbe et du
sens : le
cri aigu de toute chose que l’on divise, semblable
au gueulement du vent, quand il arrache, déracine, desserre. Jusqu’à
l’obstination, comme
la vague qui l’étrangle.
La beauté
est
un rythme
cobalte d’étoiles
comme ça l’amour
coups
de sang
saccades
du récit, le souffle
langue
yeux des
rivières, soudaine lumières
nourri,
mêlé, hors ciel
d’une force
à faire vivre
la beauté
est
un rythme
furieux navigation des voix,
lèvres-feu, langues insoumises =
Astarté + chaude que Diane
écarlate, vent-fleur AFFRANCHISSEMENT
Un cœur ?
BAISONS
de félicité
un pornoshop à l’intérieur
« ma voix (…) est un baiseur (…) électrique
Brodsky : j’implose une oxydée
Devant la pompe, on implose les
reflets
Une étoile rimée d’essence :comment ça
Brodsky ?
Qu’est-ce que tu veux que je te dise !
ON ARRACHE LES PEAUX
-Déflagration des mortiers, combustion des
cyniques, déboitement des crevards, nouvelles, romans, pop-corn.
« d’étoiles
(…) de fleurs, cobalte (…)
yeux » MERVEILLEUX BATTEMENTS Pas comme ça : on traverse la matière en réaction, un ring nucléaire sous apnée
de de balles crues, il me prend comme il
veut, comme ça l’amour =
coups de sang (…)
Qui a peur comme
ça ?
Combat
d’astres en excès
un pornoshop à
l’intérieur, ou fantastique intérieur
de secousses
De Nos
Baisers
Aux tremblements de soleils et de feu, aux astres en excès, au commencement des
voluptés, comme l’éclat du chant qui nous brise, follement et nos yeux libres, au long
baiser tonnerre, comme si partir, si bien que les étrangetés soufflent.
+ Déflagration des mortiers, combustion des cyniques, déboitement des
crevards.
Des fleurs à l’hiver
Combat
Parmi les ailes/Sur les nerfs/Azurite/Du verbe/Ecarlate/C’est plus fort que dévorer
il dit les rivières,
soudaine, solaire, inévitable, d’une force à faire vivre
INSOUMISSION
enfoncée
dans l’extase
LANGUES
INDOCILES
Un cœur ?
BAISONS
écarlate à
l’hiver
Par approximation, une promesse de félicité
NOUVELLES, POÈMES, POP-CORN
CONFETTIS, VOILURES, GYROPHARES
Ni moderne, ni ancienne, mais vitale, des kilomètres de gong sous les lignes
politico-porno de l’autre lune, il manque un mot, un pornoshop à l’intérieur, ou fantastique intérieur, j’appelle, j’appelle, je n’appelle
pas ça le désespoir.
TRAFIQUANTS DE POULES VIVACES, AMOUR
CHANCEUX,ARTIFICIERS, COLLECTIONNEURS DE NUIT
de secousses
LANGUES INDOCILES
Un cœur ?
BAISONS
écarlate à
l’hiver
Par approximation, une promesse de félicité
NOUVELLES, POÈMES, POP-CORN
CONFETTIS, VOILURES, GYROPHARES
Ni moderne, ni ancienne, mais vitale, des kilomètres de gong sous les lignes
politico-porno de l’autre lune, il manque un mot, un pornoshop à l’intérieur, ou fantastique intérieur, j’appelle, j’appelle, je n’appelle
pas ça le désespoir.
TRAFIQUANTS DE POULES VIVACES, AMOUR
CHANCEUX, ARTIFICIERS, COLLECTIONNEURS DE NUIT
de secousses
Je transcrirai le mauve du vent dans tes cheveux
Qui a peur comme ça ?
Combat
de
secousses
La gueule enfoncée
dans l’extase
Le cri aigu de toute chose que l’on divise
Semblable au gueulement du vent
Quand il arrache, déracine, desserre
jusqu’à
obstination
Sur la route à l’intérieur fantastique, du rythme de tes yeux, il dit les rivières, soudaine, de lumière, inévitable,
d’une force à faire vivre. D’un pas nourri, mêlé, hors ciel, le cri aigu de toute chose que l’on divise, semblable
au gueulement du vent, quand il arrache, déracine, desserre. De cette déchirure,
du verbe et du sens, jusqu’à la gueule, dégrafé de saccades, du récit, le souffle, personne ne souffle, jusqu’à l’obstination. Et que nos baisers claquent
du fond du bois doré.
Sur la route
à l’intérieur fantastique,
et mon amour
du rythme de tes yeux
Tendre
l’écart
d’une force
à
faire vivre
il dit que les rivières
au
rythme
de
l’esquive
Dévore
les
langues
de
l’hiver fenêtre feu, vent fleur
et tu chantes certains yeux
déconstruction du piton, reconstitution du cyclamen,
pigeonnier de notes combat
digues à volants, ce ne sont pas des volants, canaux de lignes, foutre
d’hypothèses, serrures, doubles-contraires,
niques-manchots, décloisonnement, voies
routes soleils
décollement, désengorgement du pire
tout ce qui fait vivre éclate
Sur
la route
à l’intérieur fantastique,
il
dit que les rivières,
au
rythme
de l’esquive
Et que nos baisers claquent le battement au fond du bois doré
phénizoème
jusqu’à
l’obstination
le jour d’être
vivante
amour-naquîte
Allume, palpe, idylle, éclaire, shoot,inlassable
poème, tangue
la nuit, détruit
la marchandise, divague la règle, égorge la prédiction, déborde la voix,tremble
jusqu’à briser les os de
l’air
-C’est une
histoire d’amour !
Ouverture
des veines
aux bouillonnements
Nous sommes les naïves carcasses
de l’amour
LA LOI DU
ROMAN : Quand on rencontre le bitume, on lui tire la barbe pour voir si ça mouche
L’AMOUR
VEUT PARLER
-Et si un type veux
te trancher la gorge ?
Quand je te dis que
vivre est une disposition
+
veines peuplées du jour
David Marsac : votre pompe à lumière est en orbite.
inévitable
Navigation des voix, lèvres-feu, langues
insoumises,écarlates, vent-fleur, safran sauvage et mon amour
du rythme de tes yeux.
Tendre l’écART
d’une force
à faire
vivre
nos explosions rivièreset tes songes insoumis
A musique Langue
=corps Fleurs d’un
hiver
Navigation des voix, lèvres-feu,
langues
insoumises, écarlates,
vent-fleur,
safran
sauvage et mon amour
du rythme de tes yeux.
Tendre
l’écart
d’une
force
à faire
vivre
Aux
fleurs d’un hiver
à
musique
Tendre l’écart
d’une force
à faire vivre
Aux fleurs
d’un hiver
Navigation des voix, lèvres-feu, langues insoumises, écarlates,
vent-fleur, safran sauvage et mon amour du rythme de tes yeux.
de tes songes
insoumission
du vivant
aube irradiée
langue=corps
L’aube irradiée de tes songes
nos explosions en rivières
Déchirure
du verbe
et du sens
soudaine, de lumière, inévitable.
Manifeste Pour
L’insoumission
Au
rythme de l’esquive
La joie n’obéit à personne +
BAISONS
D’un pas nourri, mêlé, hors ciel Azurite, sur les
nerfs
écarlate à l’hiver************
Par approximation, une promesse
de félicité
NOUVELLES, POÈMES,
POP-CORN
CONFETTIS, VOILURES,
GYROPHARES
LEVRES, CÔTELETTES,
AMOUR
CHANCEUX, ARTIFICIERS,
COLLECTIONNEURS DE NUIT
Dégrafé
de secousses
Pont jusqu’à la gueule – Nuit d’oubli clair –
Le cri aigu de toute chose
que l’on divise semblable
au gueulement du vent
quand il arrache, déracine, desserre
de cette
PAS COMME CA
ECRIRE D’UN COUP
L’arrière qui se dérobe, puis l’avant, l’émail, les coups de
dents, c’est plus fort que dévorer, une lettre te disant le jour d’être vivante, comme ça, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald voilà l’histoire, du récit, le
souffle, personne ne souffle, et combien nous les aimions.
-Alors, oui. Enterrés vifs.
Aucune paroi, pas d’appui, ni même me souvenir. Me souvenir de
quoi ? Ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Car. Ou. Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ? Devoir de mémoire et
droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été. Jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit de le dire. Qui veut prendre la parole ?
Ou une corde. La route. Qui a peur comme ça ? Passe d’abord
et ça se passe, la peau, n’importe quel moment, par exemple un mot très court, nous étions, plus rien d’humain, de mémoire en déchirure, comme la vague qui étrangle. Voilà comment ça bouge, on
dirait que ça bouge, mais rien ne bouge du fond d’un puits duquel tu es un étouffement, laisser, espérer, approcher, respirer, rendre l’air irrespirable un flingue tendu contre le jour, après,
vous savez, sans les mains, l’inscription, on fait de lui, ce qu’on veut, en hurlant. Le cri aigu de toute chose que l’on divise, semblable au gueulement du vent,
quand il arrache, déracine et desserre, sous la porte
étroite de l’invraisemblable.
Du
récit, le souffle, personne ne souffle, pulsations étaient
trop faibles, dans le temps, et combien nous les aimions. De l’arbre, sous la mort, sans attendre. L’arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence,
courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer, car vivre on oublie jamais. Une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça,
redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald, voilà l’histoire. Descendre, le couteau, sous la gorge. Des pères, de sa maison, et de son corps. Je raconte. Alors, oui.
Enterrés vifs. Jusqu’au fond, aucune paroi, pas d’appui, ni même me souvenir. Me souvenir de quoi ? Ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Car. Ou.
Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ? Devoir de mémoire et droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit de le
dire. Qui veut prendre la parole ? Ou une corde. La route. Qui a peur comme ça ? Passe d’abord et ça se passe, la peau, n’importe quel moment, par exemple un mot très court, nous
étions, plus rien d’humain, de mémoire en déchirure, comme la vague qui étrangle. Voilà comment ça bouge, on dirait que ça bouge, mais rien ne bouge du fond d’un puits duquel tu es un
étouffement, laisser, espérer, approcher, impossibilité, respirer, rendre l’air irrespirable, un flingue tendu contre le jour, après, vous savez, sans les mains, l’inscription, on fait de lui, ce
qu’on veut, en hurlant. Le
cri aigu de toute chose que l’on divise, semblable au gueulement du vent, quand il arrache, déracine et desserre, sous
la porte étroite de l’invraisemblable.
Du
récit, le souffle, personne ne souffle, pulsations étaient
trop faibles, dans le temps, et combien nous les aimions, de l’arbre, sous la mort, sans attendre, l’arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence,
courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer, car vivre on oublie jamais, une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour, d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça,
redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald, voilà l’histoire. Descendre, le couteau, sous la gorge, des pères, de sa maison, et de son corps. Je raconte. Alors, oui.
Enterrés vifs. Jusqu’au fond, aucune paroi, pas d’appui, ni même me souvenir. Me souvenir de quoi ? Ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Car. Ou.
Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ? Devoir de mémoire et droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été, jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit de le
dire. Qui veut prendre la parole ? Ou une corde. La route. Qui a peur comme ça ? Passe d’abord et ça se passe, la peau, n’importe quel moment, par exemple un mot très court, nous
étions, plus rien d’humain, de mémoire en déchirure, comme la vague qui étrangle. Voilà comment ça bouge, on dirait que ça bouge, mais rien ne bouge du fond d’un puits duquel tu es un
étouffement, laisser, espérer, approcher, impossibilité, à respirer, rendre l’air irrespirable, un flingue tendu contre le jour, après, vous savez, sans les mains, l’inscription, on fait de lui,
ce qu’on veut, en hurlant. Le cri aigu de toute chose que l’on divise,
semblable au gueulement du vent, quand il arrache, déracine et desserre. Sous
la porte étroite de l’invraisemblable.
Du
récit, le souffle, personne ne souffle, pulsations étaient
trop faibles, dans le temps, et combien nous les aimions, de l’arbre, sous la mort, sans attendre, l’arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence,
courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer, car vivre on oublie jamais, une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour, d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça,
redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald, voilà l’histoire. Descendre, le couteau, sous la gorge, des pères, de sa maison, et de son corps. Je raconte. Alors, oui,
enterrés vifs. Jusqu’au fond, aucune paroi, pas d’appui, ni même me souvenir. Me souvenir de quoi ? Ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Car. Ou.
Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ? Devoir de mémoire et droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été, jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit de le
dire. Qui veut prendre la parole ? Ou une corde. La route. Qui a peur comme ça ? Passe d’abord et ça se passe, la peau, à n’importe quel moment, par exemple un mot très court, je ne
sais pas si vous pouvez imaginer, nous étions, travailler, plus rien d’humain, il te faudrait une vie pour les ramasser, de mémoire en déchirure. Comme la vague qui t’étrangle. Sous la porte
étroite de l’invraisemblable. Voilà comment ça bouge, on dirait que ça bouge, mais rien ne bouge du fond d’un puits duquel tu es un étouffement, laisser, espérer, approcher, une impossibilité à
respirer, c’est rendre l’air irrespirable, un flingue tendu contre le jour, après, vous savez, sans les mains, l’inscription, on fait de lui ce qu’on veut, en hurlant.
Du
récit, le souffle, personne ne souffle, pulsations étaient
trop faibles, dans le temps, et combien nous les aimions, de l’arbre, sous la mort, sans attendre, l’arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence,
courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer, car vivre on oublie jamais, une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça,
redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald, voilà l’histoire. Descendre, le couteau, sous la gorge, des pères, de sa maison, et de son corps. Je raconte. Alors. Oui.
Enterrés vifs. Contre le jour, jusqu’au fond, aucune paroi, pas d’appui, ni même me souvenir. Me souvenir de quoi, ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ?
Car. Ou. Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ? Devoir de mémoire et droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit
de le dire. Qui veut prendre la parole ? Ou une corde. La route. Qui a peur comme ça ? Passe d’abord et ça se passe, la peau, pas en avoir, à n’importe quel moment, par exemple un mot
très court, je ne sais pas si vous pouvez imaginer, nous étions, travailler, plus rien d’humain, il te faudrait une vie pour les ramasser, de mémoire en déchirure.
Du
récit, le souffle, personne ne souffle, pulsations
étaient trop faibles, dans le temps, et combien nous les aimions, cet arbre, sous
la mort, sans attendre, l’arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence, courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer, car vivre on oublie jamais,
une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça, redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou pire, Buchenwald, voilà
l’histoire. Descendre, le couteau, sous la gorge. Des pères, de sa maison, et de son corps. Je raconte. Alors. Oui. Enterrés vifs. Contre le jour, jusqu’au fond, aucune paroi, pas d’appui, ni
même me souvenir, me souvenir de quoi, ne pas oublier de vivre, ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Car. Ou. Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ?
Devoir de mémoire et droit d’oublier ravagent le cœur aimé d’une nuit à l’été jusqu’aux extrémités de l’os. Il s’agit de le dire. Qui veut prendre la parole ?
Du récit, le souffle, personne ne souffle,
pulsations étaient trop faibles, dans le temps, et combien nous les
aimions, de l’arbre, sous la mort, sans attendre, cet arrière qui se dérobe, puis arrière et avant, émail, coups de dents, quand elle commence, courir, pas courir, c’est plus fort que dévorer,
car vivre on oublie jamais, une lettre, ta respiration, le matin en te disant le jour d’être vivante, sans doute, certainement, comme ça, redoutable, les meilleures rations, ce soir, même ou
pire, Buchenwald, voilà l’histoire.
La
Porte
Etroite
De
L’invraisemblable
Comme la vague qui l’étrangle.
De grands oiseaux rares
Au rythme
de l’esquive
D’un pas nourri, mêlé, hors ciel
Azurite, sur les
nerfs
Ecarlate à
l’hiver
Par
approximation, une promesse de félicité
NOUVELLES, POÈMES, POP-CORN
CONFETTIS, VOILURES, GYROPHARES
LEVRES, CÔTELETTES, CALCULS
RENAUX
CHANCEUX, ARTIFICIERS, COLLECTIONNEURS DE
NUIT
Dégrafé
de saccades
Pont jusqu’à la gueule
Nuit d’oubli clair –
Le cri aigu de toute chose que l’on divise semblable
au
gueulement
du vent quand il arrache, déracine, desserre
de cette déchirure
du verbe et du sens, soudaine, de lumière, inévitable.
Loin des génies de toute
humanité, J’oubliais la réalité du lieu d’où tu revenais
Sous
J’oubliais la réalité du lieu d’où tu revenais, comme la vague qui l’étrangle
Sous
La
Porte
Etroite
De
L’invraisemblable
Le cri aigu de toute chose que l’on divise, semblable
au gueulement
du vent, quand il arrache, déracine, desserre, de cette déchirure, du verbe et du sens, soudaine, de lumière, inévitable.
Dégrafé de saccades
Pont jusqu’à la gueule
Nuit d’oubli clair
Par approximation, une promesse de félicité
NOUVELLES, POÈMES, POP-CORN
CONFETTIS, VOILURES, GYROPHARES
LEVRES, CÔTELETTES, CALCULS RENAUX
CHANCEUX, ARTIFICIERS, COLLECTIONNEURS DE NUIT
Tombée
parmi les ailes
écarlate
d’un hiver
De grands
oiseaux rares
Au rythme de
l’esquive
Sur les
nerfs
Azurite
Sanglots
d’éclairs
Loin des génies de toute humanité
D’un pas nourri, mêlé, hors ciel.
Criée des yeux.