995.
J’emporte pour la ville les mots suivants :
Histoire universelle de Marseille, d’Alèssi Dell’Umbria, Agone (2006) ;
Moby Dick, Melville, Everyman’s Library (1950) ;
Les quatre livres de l’admirable Étienne Faure (relecture) ;
New Collected Poems, George Oppen, Carcanet Press (2003) ;
Les Carnets de la maison morte & Les Carnets du sous-sol, de Dostoïevski, traduit par André Markowicz, Babel ;
Collected Poems in English, Joseph Brodsky, Farrar, Straus and Giroux (1999).
Œuvres romanesques complètes, t. 1, Boris Vian, Pléiade, 2010 ;
Taches de soleil, ou d’ombre, de Philippe Jaccottet, Le Bruit du temps, 2013 ;
Gaby et son maître, d’Arthur Bernard, Champ Vallon, 2013 (à paraître le 22 août).
Autant Melville, Dostoïevski et Brodsky se passent de prénom, autant Oppen et Vian y semblent encore attachés (dans mon esprit).
Je n’en lirai vraisemblablement aucun (pâtés et châteaux).