1096.
Vu du perchoir, je suis plutôt de gauche ; dans l’Hémicycle, plutôt à droite ; et carrément flottant à l’échelle du cercle.
Mais je serai, le temps d’une salve, le dos au mur des fusillés, avec bandeau pour ne pas voir la gueule des gars d’en face.
(Le fusilleur n’est pas toujours de droite.)
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Encore grandie et très écartée
des fins que le vent magnétique oppose et
s’emporte
le massacre voyage presque sans cesse
D’une matière physique Aux mains sans
ordre.
Dans le nom faiblesse où elle lui écrit le
corps
circule l homme au désir qu’elle tait
Encore de
tout le soleil à l’ombre déjà grandie et qui très tard écartée voyait fleurir non pas des commencements ou des fins mais des transbordements si déliés que le vent, cordes coupées, chutes
magnétiques, où s’oppose et s’emporte ce par quoi nous migrons, ce par quoi nous brisons les massacres d’épuisement, l’enfermement infinissable. Où le voyageur presque informe déborde la vitesse
d’une route sans cesse accrue. D’une matière qui semble regarder physiquement. Aux mains de fleurs et sans ordres. Dans les marges et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude, de
cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie qui l’avait décidé, et qui très tard écartée voyait fleurir une couleur si
déliée que le vent. Non pas des commencements ou des fins mais des transbordements magnétiques, cordes coupées, chutes libres, balles où s’opposent et s’emportent par quoi nous migrons, par quoi
nous brisons les massacres d’épuisement, l’enfermement infinissable. Où le voyageur presque informe déborde la vitesse d’une route sans cesse accrue. D’une matière qui semble regarder
physiquement. Aux mains de fleurs et sans ordres. Poussant tempête de ses humanités. Dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude, de cette singulière faiblesse d’où
elle lui écrit qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie qui
l’avait décidée, et qui très tard écartée voyait fleurir l’insensé de la chance. Par une matière qui semblait regarder physiquement, poussant tempête de ses humanités. Non pas des commencements
et des fins mais des tremblements où s’oppose et s’emporte par quoi nous migrons, par quoi nous brisons les massacres d’épuisement, d’enfermement infinissable. Où le voyageur presque informe dans
ses détours déborde la vitesse d’une route sans cesse accrue. Aux mains de fleurs et sans ordres. Dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude, de cette singulière
faiblesse d’où elle lui écrit, qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait. Et d’un bras à l’autre comme ça, pas comme finir ou aller, pas une virgule mécanique,
la Résistance c’est de là que me vient ma sensibilité, des expériences fondamentales, et lorsque je suis arrivée à la gare, cordes coupées, chutes libres, balles, et d’un bras à l’autre, comme
ça, et donc ces bras, ces bras, ces bras du fleuve, c’est devenu la seule chose qu’il nous restait à faire, on l’a découvert en plein milieu
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix
qui l’avait décidée, et qui très tard écartée voyait fleurir l’insensé de la chance. Par une matière qui semblait regarder physiquement, poussant tempête de ces humanités. Non pas des commencements et des fins mais des
tremblements où s’oppose et s’emporte par quoi nous migrons, par quoi nous brisons les massacres d’épuisement, d’enfermement infinissable. Où le voyageur presque informe dans ses détours déborde
la vitesse d’une route sans cesse accrue. J’ai sucé la clarté d’une nuit désireuse. Aux mains de fleurs et sans ordres. Dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude, de
cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit, qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait.
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix qui l’avait décidée, et qui très tard écartée voyait fleurir
l’insensé de la chance. Par une matière qui semblait regarder physiquement. Où le voyageur presque informe dans ses détours débordait la vitesse d’une route sans cesse accrue, aux mains de fleurs
et sans ordre
écrire en frime en déodorant en chaussures ressemelées en slip d’hier en
rognure d’ongle pas en vérité qu’est-ce que tu crois en opposition de rien en contradiction du vide en attente du susucre en fantasme sucé en retrait victorien en faux style édouardien en
dégueulis de la convention mais en pose dessus en attendant le déjeuner écrire sans vérité en roue libre, libre mon cul écrire pour quoi alors écrire en sens inverse alors pourquoi parce ta mère
ton père et tous les saints totems ? écrire pour coucher pour de bon avec tous ceux-là et nettoyer la place, écrire pour après après soi, écrire clean, écrire en singeant l’héroïne pour
faire snob pour vomir les snobs pour regarder en face dehors pour échapper à soi qu’on aime plus que toi écrire à perte pour draguer l’édition pour gagner un billet pour LA écrire en loterie
qu’il en coûte une mise, malgré tout, écrire pour la fortune, pour danser ses voiles devant la vieille Fortuna, pour bouger ses graisses écrire pour éviter de faire du jogging. J’en suis
exactement là :13h13.
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix
qui l’avait décidé, et qui très tard écartée voyait fleurir la grâce insensée de la chance. Par une matière qui semblait regarder physiquement. Où le voyageur presque informe dans ses détours
débordait la vitesse d’une route sans cesse accrue. Si déliée que le vent. Où parmi les arbres de soie rouge aux mains de fleurs et sans ordres
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix qui l’avait décidée, et qui très tard écartée voyait fleurir la
couleur si déliée que le vent. Par l’étendue d’une matière qui semblait regarder physiquement. Où le voyageur presque informe dans ses détours débordait la vitesse sur la route sans cesse accrue.
Ou brillait parmi les arbres de soie rouge l’immense vaisseau de cristal aux mains de fleurs et sans ordres
Je transcrirai le mauve du vent dans tes cheveux
Ecrire
joli sur le moche du jour
Torcher les
heures
Ecrire
gros pour cacher la gâtine
nrf
fait
décapsuleur
Serai ce
soir place du marché reconnaissable entre tous
au
moyen d’un chien que je n’ai pas encore
mais
dont l’achat ou le rapt ou lerempaillage
ne saurait tarder
serai là
je dis et vraiment
et
personne pour me manquer
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà
grandie de la voix qui l’avait décidée, et qui très tard écartée voyait fleurir la couleur insensée de la chance
si déliée que le vent
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix qui l’avait décidée, et qui très tard écartée
voyait fleurir la couleur insensée de la chance si déliée que le vent
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix qui l’avait décidée,
et qui très tard écartée voyait fleurir la couleur insensée d’une chance si déliée que le vent
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de la voix qui l’avait décidée, et qui très tard et écartée, voyait fleurir
en grâce insensée de la chance une couleur et sans ordre si déliée que le vent
Encore de
tout le soleil à l’ombre déjà grandie
De la voix
qui l’avait décidée
en grâce
insensée de la chance
Et qui très
tard et écartée
voyait
fleurir la vitesse d’une couleur si déliée
que le vent, aux mains
de profusion et sans ordres
Encore de tout le soleil à l’ombre déjà grandie de
la voix qui l’avait décidée, en grâce insensée de la chance, et qui très tard et écartée, voyait fleurir les dons que chacun lui promettait. Par l’étendue d’une matière toujours nomade si déliée
que le vent semblant regarder physiquement. Où le voyageur presque informe dans ses détours débordait sur la route à la vitesse d’une couleur sans cesse accrue. Où brillait parmi les arbres de soie rouge l’immense vaisseau
d’un labyrinthe de cristal comme une lame aux mains de fleurs, de profusion et sans ordres. Avec Julien Gracq
(…) encore de tout le soleil (…) à l’ombre
déjà grandie (…) de la voix qui l’avait décidé (…) en grâce insensée (…) de (…) la chance (…) et qui très tard (…) et écarté (…) voyait fleurir (…) les dons que chacun lui promettait. (…) Par
l’étendue (…) d’une matière (…) toujours nomade (…) si déliée que le vent (…) semblant (…) regarder (…) physiquement. (…) Où l’érosion avait (…) frappé (…) un ciel (…) de bois sombres (…).
Où le voyageur (…) presque informe (…)dans ses détours (…) débordait (…) sur la route (…) à la vitesse (…) d’une couleur (…) sans cesse accrue (…) où brillaient (…) parmi les arbres (…) de soie rouge
(…) l’immense vaisseau (…) d’un labyrinthe (…) de cristal (…) comme une lame (..) aux mains (…) de fleurs (…) de profusion (…) et sans ordres (…) avec Julien Gracq (…)