1022.
– J’aimerais un volume de vous, dit-il en rosissant.
Ai-je gagné en profondeur ou perdu en légèreté ?
Je vois de moins en moins de différence entre l’écriture et son simulacre. À toutes les exceptions près.
(Me voici entouré d’une trope de ponnets fringants.)
2 Replies to “1022.”
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Les grandes pages de Pessoa n’excusent en rien les mauvaises
vive les éditeurs vivants