1020.

Le vide de ce gars-là, ce qu’il écrit, me fascine. Je m’y enchaîne le foie tendu.

 

Au-delà de la langue ? – Le chant. L’horizon. Les Amaps.

 

Je préfère une injustice à trois heures de lecture perdues.

 

Notre époque a inventé le roman escalator. Qui dans le flot est personnage, qui est lecteur, on ne sait pas.


Mais qu’un écrou lâche – et l’on verra l’escalator devenir laminoir.

50 Replies to “1020.”

  1. ; dit :

    Nous  piétinons
     l’hier

     

    ce Qui nous suit
    vibre  de nous dès que nous le rattraperons

  2. Anastasié dit :

    Tu t’es si bien compromise

     A regarder en face

     

     

    Essuie  donc tes lèvres

    et je n’existerais pas

  3. joyceàlalettre dit :

    Je connais Tarifa

    du moins sa face venteuse

  4. Anastasia dit :

    Pas de virgule entre irrespirable et le flingue. Irrespirable un flingue tendu contre le jour. Et c’est démontation.

  5. Anastasia dit :

    Ce que je suis venue questionner ici est le lieu que je ne peux nommer qu’à l’extérieur d’une langue de ne
    devoir que la vie.

    Comme ces cavalcades magiques qu’au fond je n’ai jamais cessé d’être, entre l’espace sauvage de ses yeux guérison qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait et
    qui était peut-être celui d’une Force ou d’un Dieu qu’un jour ou l’autre et d’une certaine façon de sa gorge
    que le génocide n’a pas réussi à
    définitivement broyer. Suis-je claire ? Est-ce que je me fais bien comprendre ? Tirer sur tout ce qui bouge et la seule chose que je puisse faire, on dirait que ça bouge, mais rien ne
    bouge du fond d’un puits duquel je suis un étouffement et je m’engouffre dans quelque chose qui ne serait pas une direction mais une sensation, une démontation de l’air, je n’ai pas dit un goût
    d’apaches, j’ai dit un goût de souffre, de poudrière, rien qui ne me laisse approcher flotter ou avoisiner voleter, rien ne flotte dans l’étau de l’oubli ou je tire. Alors. Oui. Enterrés vifs.
    Leur tombe elle-même à disparu, le trou qui git à leur place fait redouter le risque d’y sombrer. C’est une impossibilité à respirer, c’est rendre l’air irrespirable, un flingue tendu contre le
    jour, ce n’est pas vivre après, c’est vivre avec, une odeur d’oiseau mort qui gicle jusqu’au fond du corps. J’entends les râles, ce sont les rafles. Un giravion de pieuvres surpiquées à l’hélium
    pétaradant le chaud, le volt et la tribale, et Gibraltar peut couler Suez par les fourches ou dériver le syntagme, aucun court-circuit ne peut plus m’arrêter jusqu’à planter mes crocs dans tes
    sucs décatheloniens. C’est plus fort que dévorer. Ni même me souvenir. Me souvenir de quoi ? Ne pas oublier de vivre ou ne pas cesser d’oublier qu’ils sont morts ? Parce qu’elle était
    trop difficile à prononcer cette phrase ? Qui veut prendre la parole ?
     

     

    Néréïde à venir

  6. Anastasia dit :

    Ce que je suis
    venue questionner ici est le lieu que je ne peux nommer qu’à l’extérieur d’une langue de ne devoir que la vie.

    Comme ces cavalcades magiques qu’au fond je n’ai jamais cessé d’être, entre l’espace sauvage de ses yeux guérison qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait et
    qui était peut-être celui d’une Force ou d’un Dieu qu’un jour ou l’autre et d’une certaine façon de sa gorge

    que le génocide n’a pas réussi à définitivement broyer. Suis-je claire ? Est-ce que je me fais bien comprendre ? Tirer sur tout ce qui bouge et la seule chose que je puisse faire, on
    dirait que ça bouge, mais rien ne bouge du fond d’un puits duquel je suis un étouffement et je m’engouffre dans quelque chose qui ne serait pas une direction mais une sensation, une démontation
    de l’air, je n’ai pas dit un goût d’apaches, j’ai dit un goût de souffre, de poudrière, rien qui ne me laisse approcher flotter ou avoisiner voleter, rien ne flotte dans l’étau de l’oubli ou je
    tire. Alors. Oui. Enterrés vifs. Leur tombe elle-même à disparu, le trou qui git à leur place fait redouter le risque d’y sombrer. C’est une impossibilité à respirer, c’est rendre l’air
    irrespirable, un flingue tendu contre le jour, ce n’est pas vivre après, c’est vivre avec, une odeur d’oiseau mort qui gicle jusqu’au fond du corps. J’entends les râles, ce sont les rafles. Un
    giravion de pieuvres surpiquées à l’hélium pétaradant le chaud, le volt et la tribale, et Gibraltar peut couler Suez par les fourches ou dériver le syntagme, aucun court-circuit ne peut plus
    m’arrêter jusqu’à planter mes crocs dans tes sucs décatheloniens. C’est plus fort que dévorer. Ni même me souvenir. Me souvenir de quoi ? Ne pas oublier de vivre ou ne pas cesser d’oublier
    qu’ils sont morts ? Car. Ou. Parce qu’elle était trop difficile à prononcer cette phrase ?

  7. Anastasia dit :


    Ce que je suis venue questionner ici est le lieu que je ne peux nommer qu’à l’extérieur d’une langue de ne devoir que la vie.

    Comme ces cavalcades magiques qu’au fond je n’ai jamais cessé d’être, à l’espace sauvage de ses yeux guérison qui supposait le corps circuler tant que les hommes au désir qu’elle portait et qui
    était peut-être celui d’une Force ou d’un Dieu qu’un jour ou l’autre et d’une certaine façon de sa gorge

    que le génocide n’a pas réussi à définitivement broyer.

     


    Avec Georges Perec et Céline Minard.

  8. Anastasia dit :

    Ce que  je suis venue questionner ici est le lieu que ne je peux nommer  qu’à l’extérieur d’une langue de ne
    devoir que la vie. Avec Georges Perec

  9. jkl dit :


    Il faut aimer


    etc.
    etc.etc.etc.

  10. kjb dit :


    Il faut aimer les Amaps comme nous-mêmes, comme cochon pendu


    comme quoi rien n’entravera jamais


     notre affection

     


    Les Amaps bon sang!

  11. bêle infidèle dit :

    Javanais

     

    Wigati kanggo translator.
    Basa « kembang tatami, » aku care.

  12. Anastasié dit :

    Anastasia au sommeil laisse plus de bassines que l’orage

  13. RIPeur dit :

    Je repose en paix

    Rassurez vos proches

    Je gis selon l’adéquat

    Tendez vos fils de peine  comme des vers à la
    ligne

    Pêcheurs  de quartier d’Islande

    Rien ne viendra plus vous démanger

    l’ongle

    sous l’étendoir

    vos draps ne gonfleront pas même un aperçu de
    moi

     

    en paix j’ai dit

  14. minard dit :

    faillir c’est mettre le canon du flingue au bon endroit

    frémir pareil rire

    mourir en hoqueteur

  15. Anastasia dit :

    « D’une
    Force ou d’un Dieu (…) qui s’étaient imposés (…) comme l’avait réjoui l’éclat. »

     

    Avec Céline
    Minard

  16. Anastasia dit :

    C’était à chaque fois (…) comme ces (…) cavalcades (…)
    magiques  (…) qu’au fond je n’ai jamais cessé d’être (…) et l’espace (…) sauvage (…) de ses yeux (…) guérison (…) qui supposait (…) le corps (…) circuler (…) tant que les (…) hommes (…) au
    désir qu’elle portait en elle et qui était peut-être celui d’une Force ou d’un Dieu (…) qu’un jour ou l’autre (…) et d’une certaine façon (…) de sa gorge. Avec Céline Minard 

  17. Anastasia dit :

    + DEBOUCHER L’AUTRE MANGEOIRE A VAPEUR DU NOM DE LA MAUVAISE SAISON.

  18. Anastasia dit :

    Note au traducteur.
    Traduire « tatami de fleurs », j’y tiens.

  19. . dit :

    Panique et frénésie du mot de
    la fin !

     

    Y avait-il seulement assez de
    préexistence

  20. bacch dit :

    compter le temps à soi est d’un clownesque!

     

    je me vomis dès avant l’indigestion foigrasse


    mais vous porte en santé

    à l’orifice voulu

  21. Anastasia dit :


    Ton tripode conjonctif enfoncé dans l’émail de ton apoplexique pensée à en faire claquer profond et durable la flanelle de ta phrase jusqu’à Golem-City. Un ring dans la mâchoire. Suis-je
    claire ? Est-ce que je me fais bien comprendre ? Nous ne sommes pas à résidence. Nous ne sommes pas candidats à l’aliénation. Et mon cul sur ses lèvres diamant.

  22. el qqch dit :

    plus qu’un quart d’heure au jus à peine

    les reins vrillés

    la dernière goutte en tautologie

    tauromachique de moi

    repu jamais

  23. trans sibérienne dit :

    quitter quoi?

    un abri bus? Un loyer modéré? quelqu’un par l’autre sexe?

    A la pluie qui tombe, j’écarterais bien les jambes.

  24. Monot.des dit :

    Me taire ou sentir des pieds

     

    Tu la cherchais encore la
    phrase définitive ?

  25. fin de partie dit :

    Quoi de plus
    inepte que d’écrire nu

    C’est parce
    que la douche, le restaurant, le mariage…

    Parce que, en
    tombant d’avoir voulu accrocher une tringle immédiatement après la douche, plus d’avoir changé l’ampoule, d’avoir le pied mouillé sur l’émail du concombre la poisse oui dans un sens aussi les
    carottes crues

    Nu on s’offre
    à l’ingestion totalitaire,on risque le coup de dé, on tend le cul à Mallarmé

    Demain une
    résidence pour auteur à poil

    Un prix
    d’automne nudiste

    vraiment
    ouvert

     

    petits
    éditeurs débraillés hype

    une plume dans
    le cul (ça va de soi)

  26. Anastasia dit :

    Ton sexe


    me pulsionner Sutra

  27. ortf dit :

    L’heure des poules a
    ceci d’excellent qu’on y mange à sa faim, l’omelette aux yeux

  28. olmi dit :

    où sinon ici
    exercer ma liberté?

     

    Votre blog de sport
    sent la sueur, le shampooing et le reste part au rinçage.

  29. Anastasia dit :

    Un coït ininterrompu !

  30. 14 bis dit :

    Marsac

    vous
    avez

    mon 06
    (dixit A)

    mon estime
    jusque lors

    mon cœur
    est déjà pris, sorry

    mon
    attachement

    mon 02 et
    mon 01

    mon
    @

    mon cul
    oui !

    mon ombre
    portée

    mon régime
    alimentaire

    mon nom ne
    vous dirait rien

    mont
    d’Arbois courant février

    mon chéri à
    Noël

    mon nom je
    vous l’ai dit mon problème c’est que je ne sais pas vraiment

    monstre de
    vous

    Mon cher
    Marsac

     

    Alors
    qu’attendez-vous ?

  31. simplicissimus dit :

    Il y a un
    nom parmi ceux_là dont je suis assez fier mais que la pudeur m’oblige à vous les faire tous relire.

  32. Anastasia dit :

    Swift, je crois que nous
    sommes sur le feu. 

  33. Sudddoku dit :

    On serait tenté

    de créer

    l’homme au point de croix

    Borner les heures

     Mourir enfin

    Nos sac-poubelles

     

    gras

  34. ibid dit :

    Je me souviens avoir gardé d’un clitoris une image pieuse.

  35. Anastasia dit :

    Swift, un tatami de fleurs, c’est pour
    nous !

  36. Rita dit :

    Je me souviens avoir gardé d’un clitoris une
    image pieuse.

  37. Anastasié dit :

    C’est
    aujourd’hui et c’est  un fait :

     

    Anastasia
    vous me plaisez, pour le genre de raison qui justifie la peignée et le point de suture.

  38. Jacob Démaxé dit :

    Mon geste est
    souterrain, à défleur de table: une table n’importe où, à Honfleur, une sacrée main de joueur de table, une manière toute crue d’attendre la suite
    , la main parfaitement gâchette. 

  39. Solllers dit :

    il faudra bien un jour que je cède à toutes les injonctions d’Onan. Sans pause pipi.

  40. Anastasia dit :

    Et quant à votre homard
    Port Royal, palpez-vous le jusqu’à l’agonie. 

  41. 36.15 Kristeva dit :

    La pensée du vide est plus dérangeante au vivant que le
    non-être qui est le cadre du vivant. Le vide encombre et déjustifie. Il surodore.

    Savait-il que le « parlêtre » pouvait aussi
    pourrir la parole hors soi; la renier en légitimité et nous avilir tous au silence de qui a dit.

     

    Lacan est mort de ce que je ne l’ai pas bien lu.

  42. Anastasia dit :

    Des Esseintes, allez vous lustrer la marjolaine où je pense et placez-vous le cul dans la pompe
    froide de votre roman de couloir azuré dont les phrases en chaise longue et tongs de nouilles emplafonnent les autoroutes de formol et de pâle. Votre sodomie à paillettes dans le San Francisco
    retour. Je baise à plusieurs et avec Swift quand il veux. Il a mon 06.

  43. Anastasia dit :

    Je voulais dire Métaphores sans poumon, c’est pareil !

  44. Anastasia dit :

    Lettre à un
    écrivain

     

    Ce que je suis venue questionner ici est le lieu même de ne devoir que la vie. Dans les formes et ruptures qui seront comme le
    nom de cette inquiétude. De toutes langues. De cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit. Sans s’y
    ensevelir qu’un autre tumulte.

    le
    roman
    commence

    ici

     


    + Suis-je claire, etc.

  45. Anastasia dit :

    « ce que (…) je suis venue questionner ici (…) c’est le lieu même (…) que ne je peux (…) nommer (…) qu’à la limite (…) d’une langue (…)
    de ne devoir que la vie. »

  46. Anastasia dit :


    « Je ne parle pas la langue (…) que le génocide (…) n’a pas réussi à définitivement broyer (…) je suis étranger (…) de moi-même (…) au-delà (…) de chaque instant. » Avec Georges Perec,
    Ellis Island.

  47. Anastasia dit :

    HEROÏNEn°3

    Note au traducteur

     

    « Les (…) correspondent. »

  48. Anastasia dit :


    Pour Pedro

     

    Du conformisme de la littérature en jus de
    râteaux à graisser les loutres de la fiction lénifiante + intrigue de passe moineaux

  49. Anastasia dit :

    Parfois la beauté est le nom qu’on avait perdu.

  50. Anastasia dit :

    Parfois la beauté est le nom qu’on avait perdu.

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