1010.
C’est le jour de nous égorger et de passer au fil dentaire les orifices de nos ennemis – les unir par la viande en collier.
Le bréviaire a remplacé le livre ; le culte, la littérature ; le prédicateur, l’éditeur ; l’épais, le regard du lecteur.
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DE
CE QUI EST TROP BEAU VOYAGEA LONGTEMPS TOUJOURS DE MANQUER
DE
TES LEVRES LES CIELS PARTOUT OU ILS PASSAIENT
Nous irons de la nuit sans s’y ensevelir qu’un autre tumulte, de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre,
dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. De toutes langues. De cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit.
De ce qui est trop beau, nous irons de la nuit. De jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. De toutes langues. De
cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit.
J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse. Du grand vent de tes yeux qu’un souffle déborde. De tes lèvres les ciels partout où ils passaient, nos
palpitations éclatantes. Je vise le ciel, l’extase, le képi sans étoiles du Kilimandjaro. Et quand je dis extase, ça veut dire trafalguer
l’atmosphère.
Voltige l’éclat. Du grand vent de tes yeux. Nos quelques chances.
ton cœur me bat d’aurore
ici de te toucher
(…)((…)…)(
j’ai sucé la clarté
de la nuit désireuse, plus qu’aucun autre dans les formes à voltige, elle était demain, sur la route, à l’intérieur fantastique, en
cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, de jouissances et de poésie, du nom de cette
inquiétude, Baudelaire Turquoise, Nietzsche des fleurs
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Commentaire n°35 posté
par Anastasia aujourd’hui à 17h49
Commentaire n°36 posté
par Anastasia aujourd’hui à 18h01
(…)
Commentaire n°31 posté par Anastasia aujourd’hui à 1(…)((…)…)6(…)h20
les yeux (…) à l’ivresse (…)
sans s’y ensevelir
(…) qu’un autre tumulte
MALLARME :
j’ai sucé la clarté/de la nuit désireuse
+
quelques
chances de JOUISSANCE
Sa beauté
JULIEN-GRACQ d’où elle lui
écrit SUR LA
ROUTE
A L’INTERIEUR FANTASTIQUE ON NE MEURT JAMAIS du grand vent de tes yeux EN CETTE EXTREMITE QUI
NOUS ATTENDAIT :
pas assez d’être seule
à ta poésie ? Le jus du récit : je m’élancerai de toutes langues jusque rare/ d’aurore/TON CŒUR
ME BAT
(…)
Commentaire n°31 posté
par Anastasia aujourd’hui à 16h20
Ton souffle voltige me bat jusqu’à l’aurore du grand loin, l’effroi partout, une attraction, quelques chances.
la nuit désireuse DU GRAND VENT DE TES YEUX
qu’un autre tumulte
Jusqu’à l’aurore d’un voltige/du grand vent de tes yeux/langues et (/// ruptures
TON CŒUR ME BAT
Ton cœur me bat
jusqu’à l’aurore
d’un voltige
du grand vent de tes yeux, plus qu’aucun autre, dans les
formes et (/// ruptures
Ton cœur
me bat jusqu’à l’aurored’un
souffle
voltige
du grand vent de tes yeux
qui
offraient quelques chances
Ton cœur
me bat jusqu’à l’aurore d’un souffle voltige.
Du grand vent de tes yeux plus loin que l’effroi, demain, partout, d’une
irrésistible attraction, de nos lèvres turquoises, qui offraient quelques chances.
(…) tout a tremblé (…) sur mes yeux (…) à fleurir (…)
J’ai sucé la clarté de la nuit
désireuse. Du grand vent de
tes yeux qu’un souffle déborde. Et quand je dis extase, ça veut dire trafalguer
l’atmostphère. De jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre et dans
des formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude.
Sans s’y ensevelir qu’un autre tumulte, plus profondément que nous-mêmes, à l’extrémité encore vive. De toutes langues. De cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit, et nous voilà partis toi
et moi sur la route à l’intérieur fantastique, de tes lèvres les ciels partout où ils passaient, nos
palpitations éclatantes, elle était demain, elle était la route jusqu’à l’aurore.
J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse Du grand vent de tes yeux qu’un souffle voltige
Je m’élancerai toutes voix en
extrémité
à nous, plus vive la route l’intérieur , comme le grand
autre
Ton coeur jusque rare.
Pas assez
seule
d’être
à
ta poésie
Je m’élancerai à voix forte en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, ce vœu de toutes langues
Je m’élancerai de toutes langues, à voix forte, en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, plus vive encore. Sur la route à l’intérieur fantastique, comme le grand vent de ses yeux qu’un autre tumulte. Ton coeur me bat jusqu’à l’aurore.
Je m’élancerais (…) de toutes langues (…) à voix forte (…) en cette extrémité (…) qui m’attendait (…)
jusqu’à nous.
J’ai sucé la clarté de la nuit
désireuse, elle était
demain plus qu’aucun
autre, dans les formes à voltige, sur la route à l’intérieur fantastique, en cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi
qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, du nom de cette inquiétude, de jouissances et de poésie, Baudelaire Turquoise, Nietzsche qu’un autre tumulte
Pas assez
d’être
seule
à
ta poésie
Tenir le
bâtonnet
Lécher
l’écharde
Tirer le
stigmate
voyez le
jus
J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse, elle était demain plus qu’aucun autre, dans les formes à voltige, sur la route à l’intérieur fantastique, en cette
extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, du nom de cette inquiétude, de jouissances et de
poésie, Baudelaire des
fleurs, Nietzsche turquoise qu’un autre tumulte
J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse, plus qu’aucun autre
dans les formes à voltige, elle était demain, sur la route, à l’intérieur fantastique, en cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le
grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, de jouissances et de poésie, du nom de cette inquiétude, Baudelaire Turquoise,
Nietzsche des fleurs
du grand vent de tes yeux plus bombé que l’effroi
du nom de cette inquiétude la route me
manquer
de jouissances et de poésie, éclat des
transparences
de cet étrange voltige qu’on ne puisse franchir
Et de
courir
ce qui voyagea longtemps
plus
profondément
que
nous-mêmes
qu’un
autre tumulte
Et
de courir ce qui est trop
beau ce qui voyagea
longtemps toujours de
manquer
de
cette inquiétude
quelques
chances
de
jouissances
et de
poésie
plus
profondément
que
nous-mêmes
qu’un autre
tumulte
Sur la route à
l’intérieur fantastique,
en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, dans l’épaisseur du voyage arraché qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, à la force des éclats, du grand
vent de ses yeux, voltige d’où elle lui écrit, plus
profondément que l’effroi, formes et ruptures, qui seront comme le nom de cette inquiétude.
En cette extrémité qui m’attendait, avec force plus belle, dans l’épaisseur arrachée d’un lieu qui offrait, quelques chances de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, comme le nom de
cette inquiétude voltige du grand vent de ses yeux, ce quelque
chose que nous ignorons plus bombé que l’effroi et de courir ce qui est trop beau, ce qui voyagea longtemps toujours de manquer
NIETZSCHE En
cette extrémité (…) qui m’attendait (…) jusqu’à nous (…) avec force des éclats (…) doucement (…) plus belle (…) dans l’épaisseur (…) de ce voyage (…) arraché (…)
Les turquoises Charles Ségalen
Car dans tout l’espace (…) qu’un souffle (…) voltige (..) et déborde (…) comme le grand vent
(…) de ses yeux (…) ce quelque chose (…) que nous ignorons (…) plus bombé (…) que l’effroi (…) où s’abandonne (…) et si profondément (…) ce feu (…) des transparences (…) matière (…) de courants
(…) chauds (…) qu’on puisse (…) franchir (…) les turquoises (…) ces palpitations éclatantes (…) J’étais attirée (…) de cette singulière faiblesse (…) q’une
irrésistible attraction (…) de ses lèvres (…) par-dessus (…) le ciel (…) et de courir (…) dans l’ivresse (…) ce qui est trop beau (…) ce qui dépasse (…) d’étonnement (…) voyagea longtemps (…) et
sans patrie (…) partout où ils passaient (…) elle était (…) demain (…) de la route (…) toujours de manquer (…) dans un endroit qui offrait quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de
cet étrange (…) pareil secret on ne meurt jamais (…)
Sur la route à l’intérieur
fantastique, de nos yeux plus profondément que
nous-mêmes, d’une beauté inconnaissable qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de cette singulière faiblesse.
Sur la route à l’intérieur fantastique, le commencement d’où elle lui écrit, dont le lecteur est
suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus alerte, plus fatale, d’un lieu qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette
matière plus profondément que nous-mêmes, de cette singulière faiblesse, on ne meurt jamais.
Le commencement d’où
elle luiécrit, contre lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus
alerte, plus fatale, de cette singulière faiblesse, un lieu qui offrait quelques chances de
jouissances et de poésie, de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cet
étrange pareil secret on ne meurt jamais.
Le commencement d’où
elle luiécrit, contre lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus
alerte, plus fatale, de cette singulière faiblesse, un endroit qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cet étrange pareil secret on ne meurt jamais.
Le
commencement d’où
elle lui
écrit,
contre
lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus alertée, plus fatale.
Dans
un endroit qui offrait quelques chances
de jouissances et de poésie, de cet étrange
pareil secret on ne meurt jamais.
Comme
tout être acharné dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. Et de nos yeux dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cette singulière faiblesse.
J’ai
sucé la clarté de la nuit désireuse qu’un autre tumulte.
(…) l’assez grand dénuement (…) le
commencement (…) d’où elle lui a écrit.
LES
EXTRAORDINAIRES
Sa beauté (…) contre laquelle le lecteur est
suffisamment prévenu (…) plus alertée et plus fatale (…) inconnaissable (…) de leur rencontre nouvelle (…).
Julien Gracq
Et de nos yeux (…) dans cette matière (…) plus profondément que
nous (…) de cette singulière faiblesse (…) toujours de manquer (…) et de courir (…) d’étonnement (…) dans un endroit qui offrait
quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de cet étrange (…) pareil secret on ne meurt jamais (…) comme tout (…) acharné (…)
mais plus qu’aucun autre (…) et dans des formes (…) et ruptures (…) qui seront (…) comme le nom de cette inquiétude (…). J’ai sucé la clarté (…) de la nuit désireuse (…) sans m’y
ensevelir (…) qu’un autre tumulte.
Mallarmé Prigent Baudelaire
et de nos yeux (…) dans cette matière (…) plus profondément que nous (…)
MALLARME, j’ai sucé la clarté (…) de la nuit désireuse
QUOI
ENCORE
BON
DES POETES
IMPREVISIBLE (…) comme tout (…) acharné (…) mais plus qu’aucun autre (…) et dans des formes (…) et ruptures (…) qui seront (…) comme le nom de cette inquiétude (…) De résistance (…) et (…) de (…) surgissement (…) sans s’y ensevelir (…)
qu’un (…) autre (…) tumulte (…)
Christian Prigent
Baudelaire des fleurs J’étais attiré (…) de cette
singulière faiblesse (…) l’irrésistible attraction (…) les yeux par-dessus (…) le ciel (…) et de courir (…) dans l’ivresse (…) ce qui est trop beau (…) ce qui dépasse (…) d’étonnement (…) voyagea
longtemps (…) et sans patrie (…) partout où ils passaient (…) avec (…) pareil secret on ne meurt jamais (…) elle était (…) demain (…) de la route (…) toujours de manquer (…) dans un endroit qui
offrait quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de cet étrange.