3 Replies to “843.”

1. Anastasia dit :

   25 décembre 2012 à 1 h 52 min

   D’Amour Samuel Beckett (3)

   De
   sorte que cette femme, dans sa façon de circuler, à même la main des lettres dans la phrase. Comme s’il était question. Ou bien des feuilles. Au milieu, au grand glissement, là où les yeux. Car
   voilà, n’est-ce pas ? Ça commençait.

2. Anastasia dit :

   25 décembre 2012 à 1 h 24 min

   D’Amour Samuel Beckett (2)

   Et le vent, d’une voix basse et rapide. Longtemps, d’une
   vivacité. Ou de la nuit. D’un bout à l’autre, de nouveau.

3. Anastasia dit :

   24 décembre 2012 à 7 h 02 min

   D’Amour Samuel Beckett

   Sans un mot, ses gestes impétueux, sa voix de l’ordinaire et cependant, la sensation si fortement. De
   curiosité et d’émerveillement. Soit son chemin. Si l’on peut parler. Le nom. Et même vert. Ne l’oublions pas. Pour tomber presque aussitôt. Pendant un certain temps, quelque part ailleurs, comme
   au soleil. Mais ce jour-là, elle finit par voir. Pour ne pas dire. Et sa candeur inimitable, franchement révoltant, d’un autre milieu, si vous voulez, avant de les perdre des yeux,  et en particulier, ce mystère, l’existence tout court, ouverte, le contraire, ses mystères, ou alors c’est du feu, debout, à l’air, sur le dos, c’est le début
   de l’histoire, de même maintenant, de toutes ses forces, sur la bouilloire bien grasse, jusqu’à la poitrine, une femme de poitrine, surtout, vous voulez dire, et ceux qui n’étaient pas de cet
   avis, ou un compte à régler, à tel point, qu’un simple changement de degré, et ce n’était pas une illusion que de le dire, des variations, plutôt le sentiment d’un changement, ce qui était
   changé, était l’existence, changera, hors l’échelle, tant qu’elle durera, avant de partir, ceci dit, si j’arrive à comprendre, comment une fleur si belle, si rare, si suave, ou alors la vague
   d’un mouvement.