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Un peu d’eau tiède dans son discours déshydraté sur la littérature donne en quelques minutes sur la grande table de la culture une soupe d’un romanesque populaire
100 % garantie sans légume épluché (aucune empreinte carbone à redouter).
J’en parle avec d’autant plus de liberté que je n’ai jamais pu commencer un seul livre de François Bégaudeau chaude.
C’est une petite maison d’édition composée d’une armée de conseillers littéraires et de chargés de développement qui publie une vingtaine de livres par mois.
Notre besoin de micro-onde est impossible à rassasier.