654.
Rémunérer les écrivains, je suis pour. À la condition qu’ils produisent de l’argent au lieu de générer des frais.
L’écrivain tient à son statut comme un ministre à son portefeuille (et à son portefeuille plus encore qu’à son statut).
Quelle histoire pour 9€50 à débourser sur un salon où ils n’avaient nulle intention de se rendre !
Le problème de nos ennemis, c’est qu’ils sont aussi nos amis.
2 Replies to “654.”
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Mais voyons, tous les sujets sont bons quand il s’agit de faire une histoire !
Et puis pousser ma petite gueulante, personnellement, ça m’a soulagé – outre le fait qu’à la deuxième tentative, à titre expérimental en effet, j’ai eu mon accréditation fissa. Du coup, si ma
bonne humeur tient jusque là, je l’utiliserai peut-être.