642.

Il est temps de prendre le train des grandes orientations de la littérature en marche, changement de cap, virage à angle mort, nous renonçons à publier des
écrivains sans valeur calorique, inconnus des lecteurs et des véliplanchistes, nous allons publier un inédit de la période bohème d’Henry Bordeaux, expérience éthylique à l’eau d’Évian ; les
fulgurances métronomiques de Pierre Benoit et des poètes contemporains dont l’envergure bras écartés atteint au moins trois mètres cinquante, poètes soignés et sidérants, la différence est mince,
avec intermittences du génie sponsorisées par Pôle emploi.

 

+ des romans existentiels pour vomir sans les doigts.

3 Replies to “642.”

  1. le golvan dit :

    Je dirais Yédadazane. (poussez une autre grille)

  2. anonymous dit :

    « J’ai trouvé ce qu’on pourra
    faire de nos commentaires ! » fait-on dire au petit éditeur après un bon coup de botte dans la queue du train.

    “Des Bis, Des 2, Des mieux
    : 

    Isabelle à m’en remembrer
    !

    Balzac
    Dégage !

    Mais Marge
    Libérée !

    Plus besoin d’auteurs. Vive
    l’auto-éditif et mort aux vaches (qui ne boivent pas de lait (Hugo(et Cie(ne citons pas (trop vulgaire))))) ! »

    N’est pas Marsac qui peut. (sauve
    qui ?)

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