611.

Dans la mesure où la plupart des romans contemporains mettent en scène la vie de mes voisins de palier, je n’ai aucune raison de les lire. Une enjambée, me voici à
leur porte, je n’ai plus qu’à sonner, goûter la bonne chaleur fraternelle de leur présence autour d’un verre (+ cacahouètes).

 

La bonne concierge d’en bas me fournit de surcroît en dialogues savoureux pris sur le vif des clichés.

 

 


3 Replies to “611.”

  1. Marilyn dit :

    Avant de vous écrire… j’aurais dû faire un tour sur votre site (j’adore lire ces petits mots) ! 

    Désolée pour le dérangement, et merci quand même pour votre aimable réponse.

    Je vous offre un gros sac de cacahuettes pour que vous n’en manquiez pas.

  2. anonymous (servez-vous) dit :

    Manifeste;

    Nous cracherons coudes serrés sur les romans qui palpent aussi longtemps que nous n’en serons pas !

    Nous singeons en douche Anna G…a sous notre douce (et fissa). Après seulement nous renverrons à la gueule de tous les
    petits éditeurs les cosses de leurs cacahuètes.

  3. anonymous dit :

    C’est justement ce que me disait Anna (G….a) qui, par ailleurs, a des prix sur les pistaches en semi gros.

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