551.

J’ai longtemps cru que la littérature ne pouvait être qu’une seule chose à la fois jusqu’à ce que je la considère alternativement dans le regard de chaque
lecteur.

 

Et si je me mettais à écrire comme Annie Ernaux ?

 

Ce ne sont pas tant les bons sentiments qui gênent la littérature qu’une incapacité de la littérature à laisser le lecteur libre de ses mouvements.

 

« Sauver quelque chose du temps où l’on ne sera plus jamais. »