487.
– Faute de lectures, je dépéris, ce blog languit, la littérature perd ses forces, rien pour renouveler les miennes, au bord de l’extinction, les incendies ont
du mal à se déclarer.
– Les écritures inédites ont aujourd’hui de ces redites mortelles (d’ennui mortel), s’affligeait le petit éditeur.
5 Replies to “487.”
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Et hop !
J’apporte l’essence ?
Ne dépérissez pas, par pitié ! Je viens de passer une après-midi délicieuse et enthousiasmante à lire Balzac revient et Marge occupée, et finis cette journée, heureuse des
oasis littéraires que vous m’avez apportés et que je relirai avec plaisir les prochains jours pour en faire la « critique ».
Signé : une lectrice-admiratrice
Je compatis (et adresse un Mea Culpa pour l’heure)