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Il se trouvera toujours des gens pour dénigrer ce que vous écrivez, profitez-en, prêtez-leur un dédain attentif, et demandez-vous in petto, à la gueule de
vos contempteurs, ce qu’en penserait Shakespeare, Balzac, Melville ou Marsac. (Pour le dernier, me demander directement.)
La critique en polyester compte autant sur le 14-Juillet pour s’enflammer que sur la rentrée littéraire.
Si vous avez des doutes sur vos écrits, lisez la page critique de Martine L. qui désormais émarge au M-D-ZA (surtout pas de noms). Parcourez la critique, les
extraits, les références, le prix (et surtout le code-barres).
Votre dédain ne me touche pas autant que les deux dindes à vos côtés, gloussait David Marsac dans le poulailler.
(C’est pénible, même pour la guerre il faut être deux.)