Brodsky
Je me garde bien de reproduire ici l’article intelligent de Santiago Artozqui sur les Vingt sonnets à Marie Stuart, « Traduire un poème », dans le tout dernier numéro de la Quinzaine littéraire, de septembre 2014 (n°1112). Vous pourrez vous le procurer en kiosque & par abonnement. N’ayez pas honte de votre ignorance. Doublez la mise. Ici la brosse sert à relire.
Ça vous changera des chausse-pieds de la blogosphère et de son vernis.
Sinon, la librairie L’Écume des pages, 174, boulevard Saint-Germain, consacre aux Vingt Sonnets à Marie Stuart une large vitrine fleurie (que le reflet de mon smartphone, moins smart que prévu, estompe un peu) en vue de la rencontre avec Peter France et André Markowicz, mercredi 4 juin, à 19 heures.
(Cliquez sur la photo pour tromper le reflet)