Brodsky
Il est en effet déroutant de constater que les traductions d’un même texte puissent différer autant l’une de l’autre quand l’orginal reste à ce point identique à lui-même.
Je me demande à quoi Brodsky ressemble en russe.
Калинка, калинка, калинка моя!
В саду ягода, малинка малинка моя!
(Sans doute.)
Moments de lecture à la librairie de Paris
André Markowicz
Merci aux deux lectrices, russe et américaine, qui ont accepté de lire, au débotté, quelques-uns des Vingt sonnets à Marie Stuart de Joseph Brodsky devant
une vingtaine de personnes (cliquez sans relâche).
Votre désir s’est échauffé au gré de nos retards ?
Remerciez.
(Le clic stimule moins la lecture.)