Cela dit, la maréchale ferrante est plus anonyme encore que son mari.  

Et si, plongeant la main au creux du grand chapeau, j’allais tirer mon nom ?

Je dévide et renvide le fil à ma façon.

« Ce qui ne va pas chez les porcs, c’est le rose. »

Le très subtil Michel Valprémy est au sommaire du dernier numéro de la revue Décharge (décembre 2011, n°152) à l’occasion de la sortie, à l’Atelier de l’agneau, d’un fort volume très justement intitulé Agrafes, qui rassemble vingt années de
publications en plaquettes. Valprémy est pour moi une découverte récente, faite par l’intermédiaire de l’audacieux Cadran Ligné, et une lecture « à petits pas, à pas comptés, car le temps ne griffe plus l’émail fendillé des
pendules ».

Le tabouret est réversible et loge commodément quatre enfilés grégaires.

– J’ai inventé le livre tong ! J’ai inventé le livre tong ! s’exclamait le petit éditeur qui n’en revenait pas et marchait sur les stocks étalés dans
les couloirs de sa maison. – Où est-ce le livre parquet ? carrelage ? faïence ? lino ? moquette ? tapis rose ? tapis bleu ? tapis vert ?
dalle de jardin ? dalle funéraire ?

Un doute et la joie tombe.