J’ai connu des coupeurs de cheveux en quatre qui finissaient par se couper la tête, chauves de dépit.

Il avait mis au point une langue exacte et inflexible dans laquelle chaque mot avait sa juste place, et fut broyé par la puissante machinerie de son premier
discours.

Tous les livres se valent puisque personne ne leur accorde le même prix ; vous pouvez donc taper dans le tas  les yeux fermés (un peu plus à droite, c’est ça,
vers les couvertures colorées).

En faisant son ménage de saison, David Marsac était tombé sur une pleine caisse de paradoxes du siècle dernier.

Le lecteur avait du mal à tenir en même temps le livre et les béquilles si bien qu’il se cassa la gueule.

J’ai aussitôt appelé les pompiers.

C’était très beau à voir, les béquilles dans les yeux.

Le grain de sable fait avancer notre compréhension de la machine.

( C’est son anniversaire. Il a été très sage. En conséquence, il n’aura rien. J’achèterai quand même son tout dernier volume. Car je ne suis pas aussi sage que
lui…)

Saluez le courage de la main qui chaque jour alimente ce blogre.

Les fantassins avancent. La fantaisie recule.

Je lève mon verbe à votre lyrisme généreux.

Au regard des déclarations d’intention, on compte finalement peu de suicidés dans l’histoire littéraire. La joie de vivre avance masquée pour se rendre
agréable.

Il existe encore de nombreux lecteurs que Rimbaud jette dans des transes abdominales. Albert-Birot, beaucoup moins. La joie de vivre ne fait pas recette.