En boucle publicitaire sur France-Culture, partenaire du spectacle de Jon Fosse, Et nous ne serons jamais séparés : « Une femme attend un homme
qu’elle aime, qui n’est maintenant plus là. Qu’est-il advenu de lui ? Est-il mort, est-il parti pour un autre amour ? »

– Est-il parti pour un autre amour ?                    

Leur écriture de l’amour ne sera que rarement troublée par le sentiment de la langue.

Cherchons le sens de l’œuvre.Tournons à droite.

(Mon billet qu’oui !)

Ventousé au pilier de l’embarcadère, ce bigorneau contemporain prend le ressac pour le
mouvement du voyage.

Contrairement aux huîtres, ses livres ne résistent pas beaucoup à l’ouverture.

Accord parfait. Ils ne comprennent rien à ce que nous écrivons. Nous ne comprenons rien à ce qu’ils lisent.

Je supporte mieux les livres de la rentrée grâce à l’opacité intense de lunettes noires conçues à cet effet ; plus rien ne passe et Jean Rolin retrouve ainsi
la densité perdue, d’un détroit l’autre : « Or, Muse, conte-moi l’aventure de l’inventif… »

Les noms sont interchangeables, les éditeurs pas toujours.