Le roman n’est plus qu’un miroir tendu au lecteur. Pour le chemin, allez vous promener. – Tiens ! c’est tout moi, ça.

Ce serait beau dans la vraie vie si la vraie vie savait écrire.

– J’aimerais un volume de vous, dit-il en rosissant.

Ai-je gagné en profondeur ou perdu en légèreté ?

Je vois de moins en moins de différence entre l’écriture et son simulacre. À toutes les exceptions près.

(Me voici entouré d’une trope de ponnets fringants.)

Ça chauffe au sous-sol d’hier (c’est en direct pour les chanceux) !