Divers
C’est le jour de nous égorger et de passer au fil dentaire les orifices de nos ennemis – les unir par la viande en collier.
Le bréviaire a remplacé le livre ; le culte, la littérature ; le prédicateur, l’éditeur ; l’épais, le regard du lecteur.
Nous inaugurons aujourd’hui notre série de méchantes blagues éditoriales pour vous réconforter au retour des vacances (la rentrée). Voici la première : Quel petit
éditeur courageux ne cesse de dire « Retenez-moi ou je fais faillite ! » ? La bonne réponse gagne un livre de chez Quidam.
Je crains que la fadeur ne soit pas seulement dans l’œil du lecteur, mais aussi dans son cul.
De la régression à l’œuvre, il n’y a qu’un pot.
– Et un roman vapeur, un !
Je vais tenter le viagra pour lire le dernier Rolin.
Partagé entre l’envie et la jalousie, d’avoir ce qu’il a, de perdre ce que j’ai, je l’ai épousé puis j’ai divorcé.
– Vue des marges, quelle visibilité pour la grande édition ?
Le dilettantisme et l’amateurisme rendent l’édition possible. Nous n’avons pas besoin d’en vivre. (Un modèle à suivre pour la librairie.)
– Et deux romans vapeur, deux !