Divers
Les livres qui s’accumulent sur son parcours au fil des ans sont les douilles vides de
l’écrivain dont la puissance de tir tarde à toucher la cible.
Faire feu d’un chef-d’oeuvre et s’y tenir. Puis vendre des armes en Abyssinie.
Le livre est un plâtre appliqué sur notre beauté intérieure.
Impossible depuis plus d’une semaine de mettre la main sur trois volumes des œuvres de Kafka, disparus, envolés, verloren au milieu des grouillants de ma
bibliotchèque.
Son blog me revient confiture de piment par le pop-up du livre.
(Au lieu de poireauter chaque jour à son guichet, j’ouvre à ma guise ses volets.)
Les comédiens à la fin de la représentation croient toujours qu’ils sont applaudis alors que les spectateurs tentent en réalité de refermer le rideau.
(Pub gratuite pour la page 89.)