Humour
Il a la vie myope. Il prend son sourcil pour un chapeau.
Combien d’esprits fins dans la cuvette des chiottes dès qu’il est question des goûts littéraires ?
Ils comprennent l’ironie quand elle s’englue dans les bonnes causes. Elle est chez eux très mal payée des services rendus au mauvais esprit.
Apprenons-leur la joie des baffes qui se ventile le cœur ouvert et la main large.
Je n’aurais peut-être pas dû enterrer la hache de guerre aussi longtemps. Elle a fait des petites.
Le cadavre putréfié de la littérature est un très bon terreau. Moins azoté pourtant que les livres hésitants des petits éditeurs militants.
Où porter toutes nos haches ? Dans quels dosmaintenant ?