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N’en doutons plus. Le goût pour les romans que mes contemporains développent en dépit de la médiocrité du genre est le commencement d’une addiction nouvelle.
LE ROMAN TUE ET RÉDUIT LA FERTILITÉ
Je me demande si la porte que ce personnage ouvre et ferme n’est pas une tentative désespérée pour faire entrer un peu d’air frais dans la suite étouffante des
péripéties de ce roman contemporain (faire son ménage, changer de vie, composter son billet).
De là à penser que l’héroïne à sa fenêtre meurt d’asphyxie dans les romans d’hier, il n’y a qu’un rebord que je m’empresse d’enjamber.
Trois poèmes denses et vifs auraient pourtant suffi à vous épargner la bedaine relâchée des lecteurs de roman.
(Tout vrai lecteur l’est de poésie. Les autres gobent des autobronzants.)
Ô l’heureuse et bonne nouvelle vers laquelle nous allions, depuis un an, bien plus, tant bonne et attendue qu’elle vous emporte aussi dans les nacelles de notre joie. Mais chut ! Il reste encore quelques détails à peaufiner.