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978.

Plutôt partisan de la billot-graphie et de ses dérives sanguinaires.

 

Les autres manquent, à l’égard d’eux-mêmes, de cet humour qui nous fait tant rire (gorge tranchée).

 

Il est d’usage de courir après les critiques influents, rarement de les attendre, le souffle sûr, devant leur porte, au sortir du bureau, lors d’une séance de
dédicace (leur nième pelure)
, avec une tronçonneuse.

 

Le navet, la croûte, la daube. Les mots manquent pour signaler la soupe littéraire.

977.

Le jour où mon chat aura répondu aux questions que je me pose, à quoi bon la littérature ?

976.

Je n’achète plus les livres que j’aime, je les reçois gratuitement, les éditeurs me les envoient, comme aux critiques, aux journalistes, blogueurs, autres
télévisés, pourtant je n’ai pas vingt lecteurs, pas trente, à peine cinquante par jour, dans les meilleurs, jours et lecteurs, jamais plus de deux cents (mille une fois l’an), pas de quoi
pavoiser les taux d’écoute, guère plus de cinq milliers les années bissextiles, à tout casser trente à cent mille, voyez –

 

Je crois qu’ils m’aiment vraiment.

 

La rançon de la glaire (le fond de la gorge qui parle).