BLOG

1321. Sirop et cirage

Les commentaires de vos comptes facebook font d’excellents sirops d’orgeat.

1320. Pour une nouvelle poétrique

 

Le livre de Jules Vipaldo est aujourd’hui accessible. C’est une sorte d’empoignade France-Belgique qui doit son titre au pamphlet de Baudelaire et sa matière aux sérieux des poètes contemporains. Tous les noms ne sont pas ciblés, mais toutes les cibles sont nommées. Poète, tu vas grincer des dents ! (Tu sens déjà des pieds.)

Tire au Prigent et verve again !

Je ne l’ai pas assez dit, par discrétion d’abord, prêt à donner aujourd’hui de la voix : Pauvre Baudelaire est un pamphlet vachard contre la poésie contemporaine/ ses poètes surtout. On reconnaît certains vivants très nettement et, plus nettement, les déjà morts vivants.

Les poètes qui ont encore des dents prendront le risque de le lire. Les poètes appareillés ménageront leur denture et devront se résoudre à mourir comme ils ont vécu : idiots et tristement.

(L’œil effaré saute hors de son orbite.)

 

[Extraits bonus]

Extrait Bonus1_Pauvre Baudelaire_Jules Vipaldo

Extrait Bonus2_Pauvre Baudelaire–Jules Vipaldo

1319. Miction et fiction

Je me demande parfois si l’écrivain ne se tape pas en douce son personnage, une aguichante radasse en silicone alimentaire.

La vie est douce et mes amis facebook me manquent.