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318.

Pas tagadac, pas tagadac ?

 

Reste donc, solitaire et molle, L’asperge de Gustave Manet.

 

Sous la muleta.

317.

Enveloppé dans sa muleta le petit éditeur attendait le taureau, tagadac tagadac tagadac, troupeau des doigts sur la palissade.

 


316.

C’est vrai. On ne saurait reprocher à l’asperge de
ne pas être un salsifis.

 

Mais qui dira le vrai de L’asperge de cet autre Gustave ? L’amateur, le peintre ou le botaniste ?

 

Les analogies sont comme de vraies fenêtres ouvrant sur de fausses symétries.

 

(Celui qui la mange ? Celui qui la cuisine ?)