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261.

Je le redis au risque de lasser, P.N.A. HANDSCHIN est un écrivain singulier. Au lieu de lire Céline, lisez Ma vie du susnommé, aux éditions Argol (beaucoup vraiment). David Marsac ne cesse de vous le répéter sur les ondes de la radio anglaise (ici Londres + pub pour les crèmes à raser). Entendrez-vous l’appel du 8 février ?

Un nom pareil vous donne pourtant des droits imprescriptibles sur une part de marché du lectorat français.

+ piqûre de rappel :

Avez-vous lu Mouton de Richard Morgiève ?

Ai-je la berlue et suis-je le seul à les aimer ?

260.

…for life’s not a paragraph

And death i think is no parenthesis”  

e.e. cummings, selected poems 1923-1958, faber and faber, 1969, p.23

 

Nous garderions ingambe notre capacité d’enchantement. Mais faute de trente libraires pour nous servir de gué d’un livre à l’autre, nous sautons à pieds joints dans
la littérature.

 

Pouvoir de la littérature. Harry Potter a déplacé pendant dix ans des foules enthousiastes à la surface de la terre – et de nuit parfois.

 

Je lis pour ajouter des mots à mon imaginaire.

259.

– J’aime beaucoup ce que vous écrivez, dit à David Marsac dans son miroir David Marsac lui-même.

– Moi aussi.

Il lui restait à ouvrir une nouvelle catégorie « David Marsac » et à la gérer au mieux de ses intérêts communs.

On oublie trop rapidement que la métamorphose du petit éditeur en poule sur son nid est
un hommage au petit éditeur des Fleurs du mal.

Dit en passant : L’arrogance est l’insolence de l’homme puissant.