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577.

Ce pourrait être la grâce, la tendresse à perpétuité, sans remise de peine jusqu’au nouvel an.

242.

Les temps changent. Ce sont les porteurs de la bure et du cilice qui rendent aujourd’hui un culte à la foirade, inaugurée en son temps par un Nonce plus irlandais
qu’apostolique. Nos sourires nous reviennent cicatrices dans les dents.

 

– Quelle poule avait pondu un si bel œuf dans cette librairie, s’étonna le petit éditeur, distrait soudain de son chagrin, œil de côté, bec en l’air, à l’affût des
gloussements de l’écrivain ailé dont il cherchait dans les rayons, le miroir, la crête colorée.

576.

Le voici sur les rails, ce quatrième ouvrage tant attendu : Dachau Arbamafra, de Le Golvan. Nous préparons en ce moment pour l’impression ce texte d’une rare intensité, d’un écrivain au style nerveux, à l’humour sombre et grinçant, au regard précis comme l’enclume dans la main du forgeron.

Dachau Arbamafra est un Quichotte de la mémoire, dont nous vous donnerons de loin en loin, au fil de nos préparatifs, des nouvelles, des extraits + informations complémentaires.

Sachez, dans l’immédiat, que nous sommes très heureux de poursuivre notre travail de découverte, d’autant plus amusant qu’il est déraisonnable.