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Comment la littérature pourrait-elle être d’une quelconque utilité quand les critères d’évaluation d’une œuvre s’apprécient de manière posthume ?
Que peut tirer notre époque de la lecture de Balzac – ou de Sartre si proche, notre contemporain ?
La littérature est-elle vouée au militantisme des livres utiles, façon Éric Hazan, dédiée à notre seul présent?
(Et toujours sans nouvelles de David Marsac.)
Marseille n’est pas en soi une ville dédiée au terrorisme international, malgré le pittoresque du centre ville, quartier Noailles bercé par le mouvement des foules acquises au quotidien de l’existence.
On en rencontre pourtant de plus en plus souvent, canon pointé sur les passants, enfants, vieillards et femmes (les hommes comptent pour du beurre) au mépris des conventions suisses de la plus élémentaire courtoisie. C’est sur les plages, cachés dans les rochers entre Cassis et Martigues, que se déploie le plus large éventail de terroristes huilés – de mémoire d’éditeur engagé.
Le piège de l’œuvre, c’est le marbre.
Faire l’amour à l’Aphrodite de Rhodes (au Colosse).
Convaincu(e) ?
(Sur la Côte Bleue, plus de trace de David Marsac.)